Mamiealicia à raison surtout qu'à 21 h c'est pas possible...

Saôkie

Il faut qu'on partent d'ici , je n'aime pas cet endroit , dis-je en regardant l'auberge, alors on sort ? J'avais tellement envie de vivre une petite aventure , et aussi de résoudre cette énigme sur les gobelins et les enfants ..

- Meiyo -

Je m'avance devant tout le groupe avant de parler
Bon. Peu m'importe que vous soyez là pour l'argent ou juste pour sauver les enfants. Dans les 2 cas il nous faut des enfants. Donc vous ne vous offensez pas que je vous parle comme ça, je suis la lus vieille et NON, je ne m'impose pas en chef du groupe. Mais après plusieur smois à chercher quelqu'un, je commence à savoir comment récolter des informations. Préférez-vous faire des groupes ou qu'on se sépare complètement pour récolter plus d'informations dans la ville entière ?

Saôkie

Ouah ! Qu'elle meneuse ,cette Meiyo ...
Ouais , bon on se sépare en trois . Mais on reste dans la ville et on interroge les gens , ou on sort pour voir plus loin ? demandais-je , faisons filles , garçons c'est plus équitable ...

- Meiyo -

Je me retourne et le salue avec déférence
Bonjour. Nous sommes un groupe d'aventuriers à la recherche des enfants kidnappés du village voisins. Nous savons qu'ils ont été enlevés par des gobelins, qui les ont emmenés dans la forêt toute proche, mais ce sont de bien maigres pistes malheureusement. Auriez-vous connaissance d'une quelconque information à ce sujet ? demandai-je en mesurant mes paroles, attentive au moindre changement d'expression de la part du maire.

- Meiyo -

Je soupire de soulagement discrètement et me relève, détendue.
Compris. Donc, est-ce que vous pouvez nous aider ?

- Meiyo -

Je le suis en vitesse, intriguée, sans me préoccuper du fait que les autres me suivent ou non

- Meiyo -

Je me retourne et sourit en voyant le voleur
Tu viens aussi ? Merci  ^^

J'avais examiné le maire avec attention, sans pour autant paraître impoli. Le fait qu'il nous propose son aide comme ça était assez louche, et je n’était pas trop d'accord pour le suivre. D'un autre côté, il avait l'air très sympathique, et je savais que j'avais depuis toujours des tendances à la paranoïa.
Ce qui me plaisait encore moins était que Meiyo avait déballé notre histoire à un parfait inconnu. Je me dis qu'il allait devoir faire attention avec cette petite (ou grande) elfe, un peu trop bavarde.
Je suivit alors mes camarades sans rien dire, mais en examinant avec attention l'endroit, pour repérer les éventuels assaillants, et les sorties de la maison.

Les mots du maire me firent rire
"Je ne compte pas non plus me lancer dans ce trappe loup sans information. Si vous avez quoi que ce soit à nous dire autant que ça soit avant et non après" lui lançais-je

"On risque de tourner en rond don d'accord j'irai jeter un elf...... un oeil dans cette fichue forêt de toute façon je comptais y aller. Maintenant que savez-vous de cette bande de gobelins et de ceux qui les dirigent ? Depuis la ville d'où on vient on a croisé pas mal d'attaques."

Je réfléchis un peu avant de me retenir d'ajouter ma question à propos du Sire. Autant qu'il en sache pas trop à la fois Meiyo a déjà pas mal déballé

Je réfléchissait. En bref, cet homme nous proposait de faire ce que, de toute façon, nous avions l'intention de faire, et ce , en échange d'une paye et de la reconnaissance d'un village !
Il y avait très peu de chance que ce soit un piège, à part si l'homme était allié aux-dits gobelins ... Et dans ce cas-là, il faudrait se souvenir de lui comme un très bon menteur !
Je pensai soudain à quelque chose :
"Et, ils ne s'attaquent qu'aux enfants ? Pas aux voyageurs ou aux marchands sur les routes ?"
J’espérai que mes amis verraient ou je voulait en venir, et ne gâcherai pas tout en dévoilant ce qui nous était arrivé : je n'avais pas encore totalement confiance en cet homme.

"Mouai d'où les bijoux" dis-je au maire en regardant néanmoins Arthur. Il semblait penser la même chose que moi. Pourquoi cette attaque sur un traineur de boulets au sens propre du terme.

Je lui fis un signe de tête discret en direction de la porte menant vers l'extérieur tout en accordant un sourire au maire et en lui disant "nous allons voir ce qui se trame. Si ce camps n'est que provisoire autant qu'on parte vite"

-Non, ce n'étaient que de simples enfants comme tout ce qu'il y a de plus banal.
Il vous regarde uns par uns avant de continuer:
-Une dernière chose, vous disant tout ce que je sais, j'en espère de même que vous. Je comprends que je ne suis qu'un illustre inconnu pour vous, mais d'autres en ce bas monde tenteront de vous mettre à leur profit indépendamment de vous, ce qui n'est pas mon cas.

Dernière modification par dragonstjo (2013-12-04 11:54:42)