(Je vous maudis de faire des réponses aussi ... Aussi magnifique ! >^< vous deux-là, Mimi et Dragon ! Vous jouez avec mon sentimentaliiiiiiiiisme avec vos réponses magnifiques *pleure*)


-Alice-

-Ce que tu es ? Jack. Il n'y a pas de mots pour te définir, tu es trop foufou, extravagant ou pervers pour rentrer dans les normes ... Alors Jack, simplement !

Dit-elle, répondant avec un petit sourire à sa blague du début quand il contesta qu'elle soit folle.
Au fond, peut importe ce qu'on disait, elle devait certainement l'être, même si ce n'était qu'un peu. Folle de Jack simplement. Pas une folie atroce qui la rendrait totalement hystérique tel une paparazzi s'accrochant à la moindre photo de son idole, mais plutôt une douce folie parfois au goût amer qui se rapportait à ses souvenirs.

Enfin, il commença à lui dire que la bombe avait dû faire bien des dégâts dans son cerveau pour ensuite lui rappeler qu'elle avait une vengeance à tenir, ce à quoi la brunette répondit par une mine renfrognée qu'on lui connaissait bien. 
La laisse, elle l'avait presque totalement oublié ...
Non, en fait, elle l'avait réellement oublié !

-Tu es maso ? Depuis quand tu réclames les vengeances des gens ?

Néanmoins, un petit sourire vint naître sur ses lèvres.
Cette conversation était purement Jackiliennne ! Derrière ces mots semblant légers et pas vraiment bons pour cette situation présente, il se cachait une vérité plus que significative.
Encore une preuve que Jack n'était pas comme les autres ...
Loin d'être dramatique, il savait doser l'humour et passer des messages des plus sérieux avec lui. Ce qui rendait ses paroles d'autant plus efficaces ...

-Tu n'as pas dormi de toutes la nuit et tu es parviens encore à tenir debout ? Tu n'es pas normal ... Ça je le savais, mais tu ne dois même pas être humain ...

Dit-elle simplement, cachant les nouvelles larmes qui naissaient dans ses yeux violets derrière son attitude de petite râleuse.
Puis cette fois, il l'abreuva d'une pluie d'adjectifs pour la qualifier et Alice ne put retenir une nouvelle coulée de larmes, cherchant ensuite nerveusement à les essuyer comme une enfant, et s'énervant presque que le flot ne s'arrête pas pour autant malgré ses bains efforts pour le calmer.

-Tu es méchant Jack, tu fais pleurer les femmes ... Je croyais que tu étais plus gentleman ... À croire que tu ne m'écoute pas quand je te parle ... Si tu me dis ça, je ne vais pas pouvoir partir et tu gagneras encore ... Je n'ai aucune volonté face à toi, c'est toujours comme ça, tu viens toujours à bout de mes défenses ... Tu es un vrai danger public !

Déclara la jeune femme, se lovant contre lui quand il la prit dans ses bras. C'était toujours comme ça, elle ne pouvait faire preuve d'aucune résistance devant lui, elle ne pouvait pas s'en détacher, quand même bien quand elle quittait ses bras.
Juste avec des mots il était capable de la retenir prêt de lui.

-Et toi tu es un petit malin, un exubérant incapable de tenir dans des normes, tu ennuies souvent les gens avec tes fêtes quand tu montes le son trop fort ou que tu finis par les pousser dans une piscine géante sans les prévenir ... Tu as toujours des idées bizarres qu'il faut que tu testes et tu es aussi une sacrée tête de mule doublé d'un pervers dont les yeux s'accrochent souvent aux fesses ou la poitrine des femmes ... C'est difficile d'avoir une discussion sérieuse avec toi parce que tu devis souvent le sujet et tu finis toujours par me faire rire même si je ne le veux pas ... Tu fais toujours rire les gens quand ils en ont besoin et même quand tu es d'une humeur écrasante on peut pas t'en vouloir parce que tu es toi simplement et qu'on t'aime tous comme tu es !
Mais toi aussi tu as des blessures et tu les caches pour ne pas qu'on les voit ... Mais j'ai vu que ta jambe te faisait souffrir il y a deux jours et que pouvait à peine marcher sans avoir mal, même avec ta canne ... Alors me prends pas pour une idiote et laisse-moi t'approcher quand tu n'es pas bien, tu es toujours là pour les autres, comme pour moi dans l'instant, mais j'au aussi envie d'être là pour toi ... Le problème c'est que j'ai ce physique ... Et ce caractère ... Et puis que ça te fait aussi souffrir alors que je ne le veux pas ...

La jeune femme balbutiait maintenant, mélangeant ses mots et ses pensées même si dans l'ensemble c'était encore compréhensible.
Se sentant assez honteuse de pleurer comme ça, Alice étant en temps normal une râleuse fière de ne jamais pleurer, elle cacha son visage dans la chemise de Jack, du moins comme elle le pouvait.

-Ne dis pas des belles choses comme ça ... Ça me fait pleurer après ... Heureusement que mon nez ne coule et que je n'ai pas de morve ..

Dieu, Alice et son tact légendaire était de retour ...
Mais alors qunelle relevait les yeux, la brune vit les larmes de Jack et aussitôt une nouvelle serie d'eau liquide s'écoula de ses prunelles violettes.

-Mais ne te mets pas à pleurer, ça me donne encore plus envie de chialer !

Tremblotante, elle dégagea l'un de ses bras pour venir essuyer les petites gouttes salées qui creusaient leur chemin sur les joues de Jack, avec le dos de sa main.

-Ce soir je dors avec toi et demain tu vas faire une bonne grasse-matinée même si je dois t'assomer avec une poêle parce que Monsieur aura la bougeotte ... Ce soir et les autres jours ou tu vas finir par devenir un vieux grincheux ... Et tant pis si tu râles et te plains d'être un Jack battu !

C'était sa manière a elle de dire qu'elle allait rester ...
Au risque et péril de Jack.

(Mon phone a plus de batterie, je fais Wilhem dès qu'il aura chargé un peu ou avant si ma mère décide de virer de mon ordi ! >.<
Pardon Dragon si la réponse d'Alice n'est pas à la hauteur de celle de Jack T.T)

(Le message d'Alice ! :3 pile poil quand je finis celui de Wilhelm XD comment voulez-vous que je réponde aux autres quand vous me faites des réponses aussi bien ? *.* )

-Wilhem-

-Et si je tenais à être aveuglé, qu'est-ce que vous direz ? Peut-être que Rydia est mon soleil et sue je suis Icare, je veux voler le plus près d'elle et me bruler les ailes si il le faut si ça me permet d'être au maximum avec elle ...

Répondit-il simplement, laissant cependant une lueur inquiète brillant dans ses yeux, la joute se faisant moins complexe pour sa part car il avait l'impression que la jeune femme n'était pas dans le meilleur état possible.
Et il ne laissera pas la jeune femme souffrir de cette mascarade.
Cependant il ne pouvait vraiment pas s'arrêter maintenant, présentant qu'ils n'étaient pas que seuls.

-Et si je n'avais pas envie de parler de tout cela, si cet échange me fatiguait au point que je n'ai plus envie de répondre, qu'est-ce que vous ferez ?

Mais en réalité c'était un message subliminal pour demander à Rydia si elle allait bien. Même si le Moriarty paternel les espionnait, il ne déchiffrerait pas les regards qu'avait Wilhem pour la demoiselle car ils avaient comme leur langage codé, une manière différente de communiquer.
Ils étaient un peu comme des jumeaux, à ressentir ce que l'autre avait, à être si fusionnels et différents dans les idées, se comprendre sans se dire directement les choses et passer par des détours impossibles juste pour demander "Ca va ?".
Peut-être était-ce le véritable sens de "Àme Soeur" ?

D'eux deux, c'était certes Rydia qui menait la danse mais cela n'empêchait pas Wilhem de s'inquiéter pour la jeune femme ou de manifester son mécontentement quand tel était le cas.
Et cette fois la tête de mule que la demoiselle était allait l'entendre.
C'est pour cette raison que lorsque la jeune femme commença à marcher vers la salle de bain avec quelques mots, Wilhem l'attrapa par le bras pour l'arrêter et l'atrira à lui, l'emprisonnant dans ses bras.

-Calme-toi, d'accord ? Respire simplement ... On va soigner ta main et parler ...

Il la souleva dans ses bras, au risque de s'attirer ses foudres, et l'emmena dans la salle de bain avant de faire couler l'eau froide pour y mettre la main de Rydia.
Une fois le sang en grande partie enlevé, le jeune gomme prit du désinfectant et une bande en s'occupant des plaies, appuyant doucement pour ne pas trop faire mal à sa tête de mule d'aimée. Après s'être occupé des bouts de verre, il banda la main de la jeune femme, pressant doucement dessus pour que le sang cesse de couler.

-Ça va, ça ne te fait pas trop mal ?

Sans attendre la réponse, il se laissa glisser sur le sol, s'appuyant contre la baignoire, la jeune femme toujours dans ses bras et serrée contre lui.

-Alors premièrement, tu n'es pas ton père. Il n'a pas d'emprise sur toi, tu m'entends ? Qu'est-ce qui te fait penser ça ? Tu es peut-être une Moriarty mais tu n'en as que le nom. Tu l'as dis toi-même, ce sont les actes qui font ce que nous sommes, pas la naissance. Autremendit nous ne serions jamais ensembles aujourd'hui, nous ne serons pas là, comme ça ...

Il commença ensuite à lui caresser doucement les cheveux bien que ces derniers soient ensanglantés à cause du fait qu'elle avait posé sa main blessé dessus.

-Tu es Rydia. Peut importe le costume que tu revêts, le rôle que tu joues, tu es toujours Rydia. Miss Fisher n'est qu'un personnage que tu joues, tout comme le Wilhem que j'étais. Mais il y a une part de nous entre nos vraies personnalités et nos personnages. Et c'est ça qui est dangereux, parce qu'on peut perdre cet objectif de vue et plonger dans la folie. C'est le problème de nos esprits. C'est trop facile pour nous, nous n'avons pas la limite de la difficulté mentale alors nous devons doublement nous concentrer pour rester dans la réalité et ne pas nous laisser aller.

Sa main glissant sur la joue de la jeune femme, il fit quelques cercles doux sur la peau de cette dernière avant de lui lever le menton ppur l'obliger à le regarder.

-Tu es Rydia. Cette insaisissable fille qui sait faire danser mon esprit et qui m'a capturé. Tu n'as pas honte à te montrer telle que tu es vraiment à moi, peut importe si tu es la plus grandiose des filles ou que tu as simplement envie de pleurer. Si je t'aime, c'est parce que tu es toi ... Et ce qui fait la fille que j'aime, c'est ce mélange de force et de faiblesse, d'intelligence et parfois d'idiotie. Je ne t'aimerai pas si tu étais parfaite, je t'aime parce que c'est toi. Toi, tes faiblesses, tes capacités, ta complexité, ton caractère. Rydia aime jouer. J'aime jouer aussi, mais seulement avec elle.

La regardant dans les yeux sur ces mots, il se pencha pour l'embrasser doucement, tendrement, sans aucune brusquerie.

-Et ne va pas penser que la fille qui est dans mes bras est faible parce que ce n'est pas le cas. Cette fille est une incorrigible perfectionniste qui se démaine trop et ne se repose pas. Tu joues sur trop de tableau depuis trop longtemps, fais une petite pause. Tu sais de quoi tu es capable mais tu as aussi tes limites ... Repose-toi, lâche un peu l'affaire même pour quelques heures et soit simplement toi, d'accord ?

(Non, non, tu peux répondre Mimi' ^^ Faut que je m'oblige à répondre avec les autres persos avant ^^ Quoique pour Merlin ... Nan, vais quand même répondre en attendant Alexander XD
La réponse de Wilhem te plaît ? :3 Comme avec Alice, j'essaye d'y mettre tous mes efforts mentales pour faire un beau message *.*)

Alors là le petit trio Alex, Hansel et Gretel va falloir m'expliquer un truc. Alex a "agressé" Hansel en dehors de la cité non ? Hansel prend appui contre un arbre pour retrouver ses sens et Gretel cherche dans quelle rue est partie Alex......
Soit j'ai mal lu un truc soit il y a comme un soucis spatial

Thomas

Continuant de jouer


Thomas releva les yeux vers le flûtiste, il s'intéressait à Clara maintenant ? Comme tous les nouveaux arrivants il fallait croire, sauf Alice qui elle était plus attirée par le chapelier.

- Chacun a droit à son jour de repos, je suis son patron pas son geôlier. Nous sommes sans doute la veille d'un événement fort intéressant avec un peu de chance.

Ou juste l'après-midi du même événement, le bal de Jack aura le bonheur de réveiller quelques esprits, ou pas ils verront à ce moment là. En un sens Thomas espérait un éveil mais avec ce que certains cachaient avec leur véritable personnalité un réveil aussi brusque pourrait être dangereux, il suffisait de voir Cherry.

  Elie regardait Ian perdre patience puis elle fini par avoir une idée.

- Ecoute tu voudrais que je te répondes et moi je voudrais savoir quelle que chose alors je te répond si tu me promet que tu m'aideras pour mes recherches, tu es sheriff tu devrais avoir accès au archive de la ville et s'il te plait ne me pose pas de question. Lui dit t-elle.

Elle repensait à son étrange rêve avec son "frère". Elle regardait droit dans les yeux Ian en attendant sa raiponce si il voulait vraiment sa raiponce il l'aiderait.     

Nono: réponds avec Merlin aussi :/ Parce que... Louane a commencé à rager contre Scheddle tout à l'heure vu que tu ne me répondais qu'à moi :c



Charles plissa les yeux, tout en penchant légèrement la tête sur le côté, soudainement très intéressé par ce que lui racontait Thomas:

-Un évènement intéressé? De quoi parlez vous? Il ne me semble que rien n'est prévu pour demain, mais ce soir il y a effectivement cette petite fête. Apparemment, toute le ville y sera, je me demande comment ce petit serveur de café s'en sortira pour caser tout le monde...

Son regard se fit vague alors qu'un léger sourire apparut sur ses lèvres, sûrement ses pensées quelques peu tordues l'amusaient, mais lorsqu'il releva son regard, il reprit comme si de rien n'était:

-C'est vrai que dans cette ville tout est si bien... organisé, carré. Patron, employé, je trouve cela tellement ennuyeux...

Il fit à son tour avancer sa pièce, puis soupira.



-Que faisiez-vous avant d'arriver à Brant? J'ai essayé de trouver des informations sur la ville mais... Rien, c'en est presque effrayant.



Jack sourit simplement à Alice, il oubliait souvent qu'elle avait été en hôpital psychiatrique, à ses yeux, elle était tout à fait censée et logique. Bon, c'est vrai que croire qu'il était le Chapelier Fou et que tous ici étaient des personnages de contes était assez bizarre, même lui avait une certaine réticence -il n'y pouvait rien!-, même s'il la croyait, il n'y avait rien à faire.
Elle le critiquait, elle lui criait dessus, encore, mais cela ne le gênait pas.
Alice était ainsi, elle grondait, souvent, c'était sa façade, et il respectait cela, il n'allait pas l'empêcher d'être elle-même.

-J'oublie bien souvent que tu es put être en hôpital psychiatrique, je ne vois absolument pas pourquoi tu y aurais été, c'est étrange. Une femme comme toi... Enfin passons!

Le jeune homme prit une grande inspiration, se frottant les yeux pour tout laisser de côté, avant de continuer:

-C'est vrai qu'un Chien de garde, ça t’irait bien. Mais tu comprends pourquoi je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit? C'était tout simplement impensable avec toi là-bas, je ne sais pas comment tu t'en es sortie, mais j'en suis sincèrement heureux. C'est bien mieux de t'avoir dans les pattes que paralysée dans un lit!

Alice lui expliqua ensuite d'avoir croisé "Le Loir", et Jack ne comprit évidemment pas de qui elle parlait. Il y avait beaucoup de personnel, et quelqu'un de mauvaise humeur... c'était assez vague comme description.

-Le Loir? Ainsi donc il est là lui aussi! Mais quelle jolie famille! Dois-je m'attendre à trouver le Lapin Blanc au détour d'une rue et la grosse chenille en train de fumer dans mon café? s'amusa le serveur en souriant à Alice, ce qu'il venait de dire pouvait sans doute être vrai, voici donc pourquoi aucune once d'ironie pouvait s'entendre.

La jalousie de Alice était clairement perceptible dans sa voix, malgré tous ses efforts pour la cacher, Jack connaissait bien trop ce ton et cet air hautain pour se faire berner aussi facilement!
Non, vraiment!
C'est pourquoi il sourit joyeusement à Alice, avant de la prendre dans ses bras comme un gamin et de la faire tourner autour de lui.

-Si tu fais ça, tu peux être sûre que tu vas entendre parler de moi! Tu es très jolies dans tes longues robes victoriennes sombres et avec tes longs cheveux bruns, si tu te travestie, je pense que j'attendrais que tu redevienne une belle jeune femme avant de te laisser me faire un câlin à nouveau!

Non parce que faire un câlin à un homme... Merci mais non merci, les femmes lui convenaient très bien!
Par contre, lorsqu'elle recommença à critiquer son caracètre, il fit la grimace, et la déposa au sol en s'étirant, légèrement gêné:

-Ce n'est pas ma faute si je suis parfait, et même si tu ne le dis jamais...

Il se pencha légèrement vers Alice, lui touchant vivement le nez après une rapide hésitation:

-Je suis sûr que tu le penses aussi! Avoue le, je suis parfait! Le Grand Jack Schenel, personne ne peut rivaliser avec moi! Et de plus... j'ai bon goût. ajouta-t-il un peu plus calmement même si son ton était clairement provocateur, amusé... bref, son ton habituel.

La remarque suivante, cependant, le coupa brusquement dans son élan, mais il sourit tout de même après celle-ci, même s'il ne lui répondit pas immédiatement.
Voir pas du tout en fait.
Jack rentra donc joyeusement dans le café, son visage ne portant aucuns séquelles de ses deux-trois larmes contrairement à celui d'Alice dont les yeux étaient encore larmoyants. Mais tant pis, quoi qu'elle dise, elle était adorable ainsi!

-Tu es adorable!~ Tu es adorable!~ chantonna le serveur en tournant sur lui même, s'arrêtant lorsqu'il était face à son amie pour lui tirer la langue. Surtout quand tu rougis!

Puis, comme pour appuyer ses paroles, il s'approcha d'elle et lui tira les joues pour dessiner un sourire, avant de faire de même pour lui.
Réaction étrange, certes, mais il était content, le petit Jack: Alice restait avec lui... !

-Je l'ai crée en pensant à toi, quel autre nom voulais-tu que je lui donne? Pour son goût, il est surprenant, assez fort au début, l'arôme se dévoile petit à petit, puis, plus on en boit, plus on en révèle les subtilités, et au final, on se rends compte à quel point il est doux. Ne crois-tu pas que ce nom lui va comme un gant?

Jack s'approcha ensuite de Cherry, il surgit derrière elle, avec un léger "Bouh!":

-Cherry chériiiiiie! Regarde qui voila! Ne trouves-tu pas que c'est une agréable surprise?

Ah Jack et ses questions étranges...

Si seulement tu avais vu les réactions des filles ce matin à cause de ton message x)
Louane surtout, c'était drôle :P
Enfin, j'arrête ce petit Hs inutile x)

Nan nan, pas d'envies meurtrières et aucuns surnoms (il y a que moi qui rage autant dans le petit groupe, et encore! Pas juste pour ça ^^'), mais t'as raison sur les têtes, c'était plutôt épique =P

(J'ai mis dans Quote *^* J'ai mis dans QUote *3*)

Quinn se laissa donc guider par Alexeï, non sans ajouter avec un sourire malicieux :

-Si, tu me sers à quelque chose ! Me faire souvenir tout ce que j'ai pu oublié !

Pendant que tous les deux avançaient, Quinn freina d'un coup son fauteuil pour s'arrêter devant un stand de peluches. Le stand était toute colorée et les peluche joliment posée sur un chariot à roulette. Elle sortit un sac avec l'intention d'en prendre.

-C'est quoi ces animaux en expositions ? Ils sont trop mignons ! On dirait un canard. dit-elle en pointant du doigt une peluche.

Elle resta devant cette peluche canard et vit un grand panneau : 3 €

-Ça veut dire quoi 3 € ? C'est les papiers que j'ai dans mon porte monnaie pour échanger la peluche ? demanda-t-elle en sortant son porte-monnaies

Soudain elle eu un hoquet de dégoût, comme si elle venait de remarquer quelque chose. Et elle prit une peluche entre son index et son pousse.

-Rassures moi, ce ne sont pas des animaux ... morts ?

Quinn avait prononcé le dernier mot avec un ton horrifié.





Cherry regarda Jack pendant qu'il était au téléphone, se demandant qui cela pouvait-il être.
Quand il eu raccroché, elle l'écouta lui parler de la jeune femme rescapée au "loup-garou".
Bien qu'elle ne comprenait pas vraiment toute cette histoire le loup-garou restait une hypothèse plausible.
Elle ne répondit pas au serveur trop absorbée qu'elle était par cette histoire.
C'est vrai que tout lui paraissait flou, et elle se sentait, d'une façon ou d'une autre, mélangée à cette histoire, voir même coupable.
La serveuse ne se rendit compte que Jack était sortit que quand il rentra dans quelque chose -ou plutôt quelqu'un- et qu'il fit une mine surprise.
Cherry comprit quelques instants plus tard que cette chose était Alice.
Etant donné que la jeune femme c'était faite explosée la gueule par une bombe de petite envergure - mais qui fait quand même mal quand vous vous retrouvez dans son champs de mire - vous pouvez comprendre que la serveuse fut assez surprise de la voir déjà sur pieds.
Cherry s’apprêtait à aller à sa rencontre quand elle vit que Jack entraînait Alice à part, et elle pensa que ces deux là avait besoin d'un peu d'intimité.
La jeune femme resta quelques secondes à rêver à couple trop mignon et elle pensa -malgré elle- à Sherlock, en se demandant pourquoi il était si froid.
C'est vrai, Cherry n'était pas parfaite, mais Sherlock n'était pas le meilleur dans le repaire "qualités". Non, vraiment pas le meilleur. Mais la serveuse l'aimait et ce n'est pas du jour au lendemain que l'on change ses sentiments.
C'est vrai elle s'était attaquée à un "gros bout" comme l'avais si bien dit son patron, mais quand elle le voyait elle ne pouvait s'empêcher d'avoir les mais moites, et le cœur qui battait plus vite dans sa poitrine.
En se rendant compte qu'elle pensait -encore- à lui, elle pensa à autre chose, et le premier sujet qui lui vint à l'esprit fut Alice, et sa guérison beaucoup trop rapide pour être normale.
Alice avait en effet guéri tellement vite, que cela semblait impossible.
A mois qu'elle eu un médecin incroyablement doué, et encore, elle ne voyait pas trop d'autres possibilités, et se promis de poser la question à l'intéressée.
Tandis que Cherry s'était un peu perdu dans ses pensées, elle secoua vivement la tête comme pour se débarrasser de sa rêverie.
Encore un peu distraite, la serveuse commença à attacher des banderoles, mais se rendit vite compte que c'était celles bordeau, que ces crétins d'employés avaient prises.
La jeune femme les détacha immédiatement, et pendant qu'elle enlevait les dernières, elle entendit un "bou" et sursauta.
Rageant qu'elle se soit faite avoir aussi facilement, elle se retourna et poussa "gentiment" Jack.

-Ton "Cherry chérie" tu peux te le mettre là où je penses ! s'exclama-t-elle, faussement boudeuse.

Elle se rapprocha de Alice et lui d'un ton faussement sévère, avec un grand sourire :

-Tu ne nous refait plus jamais ça, hein ? Parce que j'ai vraiment eu peur pour toi !

Puis entraînant la jeune femme un peu appart :

-Je me demandais, comment c'est possible que tu es guéri aussi vite ? C'est inimaginable ! 





Après que Jack est raccroché, elle resta quelques secondes en mode "mais tu ne m'as pas répondu" avec le téléphone encore collé à l'oreille.
Puis elle se dit que Ian devait sûrement avoir le téléphone de Sherlock.
En se dirigeant vers la chambre de Elie, elle entendis quelques mots mais ne réussit pas à les interpréter.





Le shérif écouta calmement Elie, et en se disant le jeu valait, dans tous les cas, la chandelle, et lui dit :

-C'est d'accord. Je t'écoute, de quoi a tu besoin ? demanda-t-il un peu impatiemment

Elrysse entra en trombe dans la chambre et demanda à Ian si il avait le portable de Sherlock.
Ian lui tendis son portable avec le contact de Sherlock et elle ressortit de la chambre.

Alors, qu'est-ce que tu veux ?

C'est trop mignon ce que tu écris Nono =3 Je sais que Cherry peut le faire   Et même si elle a tendance à se dire qu'elle n'est qu'une moins que rien, elle n'abandonne jamais pour autant ! D'ailleurs Nono, je sais pas si tu as lu, mais Sherlock va recevoir un coup de fil de la part de Elrysse ;)

-Merlin-

-Cette enfant est intelligente, elle a de la répartie !

S'amusa le magicien face aux paroles d'Amy. En effet, elle avait raison, autant oublier la fois où ça s'est mal passé pour profiter le plus des 9 autres fois qui auraient crée des moments de bonheur et d'amusement.
Il se tourna vers Chrystopher avec une petite moue presque enfantine.

-Allons, ne soyez pas si formel. Ce ne sont que des enfants, et j'avouerai que c'est la meilleure partie d'une vie. Laissez-les dans leur monde, après tout ils ne font rien de mal. Et puis cela vous fait bouger de votre bureau, ce n'est pas si mauvais que ça. Et puis, la recherche, un peu comme la chasse, est un exercice très divertissant ! Le monde adulte est bien trop ennuyeux ... Vous devriez remercier ces petits de vous distraire !

En effet, un allié de poids.
Qui se rangea un peu plus du côté de la petite à partir du moment où cette dernière déclara connaître Luna. Etrangement, il suffisait de parler de la jeune femme pour que le rouquin se calme, ou du moins affichait une expression plus paisible.
Est-ce une certaine tendresse dans son regard ?

-En effet, je connais Luna, et je serai heureux de la revoir. Mais disons qu'elle est plutôt difficile à trouver ...

Si difficile que ça à dénicher dans cette petite ville ?
Pas si sûr ...
Le magicien ne devait plutôt pas savoir comment l'aborder et allait donc se mettre dans une situation des plus loufoques pour être remarqué par la demoiselle en question.

-Si mal à l'aise que ça à porter une robe ? Mais je suis certain qu'elle serait vraiment très belle en robe ! Peut-être a t-elle juste besoin de trouver le bon vêtement ? Qu'est-ce que tu en penses, toi ? Tu préférerais la voir en robe ?

Il se pencha une nouvelle fois vers la jeune fille, souriant gentiment.

-J'ai plein de sucettes, tu en veux une ?

Mettant une main dans sa poche avant d'en ressortir une, il se redressa et regarda ensuite Chrystopher, reportant son attention sur la banquier.

-Disons que c'est ... Une vieille amie ! Comme dis à la petite Amy ici présente, je la cherche mais je ne la trouve pas, je me disais donc que dans une banque, il y aurait forcément quelqu'un ayant son adresse ! Et je ne regrette pas d'être venu, j'y ai fais la rencontre d'une nouvelle amie !

-Willy Wonka-

-Du ketchup ? Je ne suis pas sûr mais ... N'en parlons plus comme ce n'est visiblement plus d'actualité !

S'exclama t-il avant d'afficher un sourire, haussant les épaules.
Et bien quoi ? Il n'allait pas chercher midi à quatorze heures alors que c'était ce qu'on appelait un miracle ! Et puis, même si il était fortement dérangé mentalement, il était un géni. Un géni du chocolat, ok, mais son cerveau était toujours branché sur la case "création".

-Maintenant que vous allez mieux, vous voulez venir à ma chocolaterie ? Je vous ia fait une promesse, autant la tenir ! Et puis vous êtes ma source d'inspiration, je me dois de vous avoir sous la main !

S'exclama t-il en commençant à avancer, prenant la main de la jeune femme pour qu'elle le suive. Un peu plus et il chanterait "promenons-nous, dans les bois, pendant que les chocovores n'y sont pas ...".

(Je fais les autres dès que possible ^^)

Dernière modification par nonomewtow (2014-10-01 16:15:47)

Cette fois, le banquier laissa Amy s'exprimer et répliquer a ses propres paroles, se croyant intelligente, futée, alors que lui-même se passait lentement une main dans les cheveux comme pour enlever les quelques mèches qui pendaient mollement sur son front.

-Tellement de monde dans ma banque... Lacha-t-il presque inaudiblement.

En effet, le "vieil homme" n'avait pas pour habitude de rester "les fesses collées au siège", il détestait l'ennui.
Horrible ennui...
Son pire ennemi...
Quoi qu'il arrive, il préférait largement se creuser ma tête de calculs impossibles, ou comme tout homme qui s'ennuie, faire des activités totalement improbables.
Arts martiaux, escrime et combat a l'épée -il avait d'ailleurs plusieurs exemplaires qu'il exposait fièrement dans son bureau-, initiation a l'abordage de l'âge victorien, l'équitation sur des cheveux hors de prix, devenir toréro pour bêtes de cirque, ou encore construire un bateau dans sa cave et acheter une résidence sur Mars -bien que la planète n'était pas encore  colonisée, il était prévoyant le Chrystopher-...
Moui, Christopher était un riche qui s'ennuyait.
Enfin, riche... Pas trop quand même mais s'acheter une baraque sur une planète lointaine ce n'était pas non plus donné... Surtout que la dite baraque n'était pas encore construite.


-Mmmh...

Son regard était assez vague, fixant le vide sans réelle raison. Puis il observa les deux êtres humains qu'il qualifiait lui-même de gamins, et décida finalement de s'assoir sur une chaise de bureau, attendant tranquillement leur départ alors que son esprit vaguait déjà bien loin de cette banque envahie de parasites.