Si tu parles de Sakura, j'aimais la musique mais, pas l'émission qui suivait.  J'aimais quand elle attrapait les cartes mais pas quand Clow la mettait à l'épreuve. 
Pour l'image de ma couverture, elle est réellement sur mon e-mail.  Je vais la téléchargé tantôt pour pouvoir 'imprimer et la mettre comme u poster dans ma chambre!!!    à côt de tout les posters de dragon, de licornes et de d'autres animaux du même gabarit!!! 

Voici la suite.  Rachel et ses compagnons!!! 
Chapitre 124

    Rachel regardait ses amis inconscients.  Elle connaissait cet effet secondaire mais, elle ne voulait pas les stresser en leur parlant de ce contretemps.  Elle regarda surtout l’homme qui la connaissait mieux qu’elle-même. Enfin, il se retrouvait après une si longue séparation.  Elle pensa aussi au moment fort de leur histoire.  Elle en oublia presque sa mission première.  Elle repensa à ce qu’elle venait faire ici et elle se mit à marcher dans cette forêt sans créature et retrouva Pedros Sanchez dans une clairière.  Celui-ci, assit sur une chaise longue, prenait le soleil en sirotant un verre de limonade rose qui tenait sur une table basse placée à gauche de lui.  Il lisait un roman dont Rachel ne pouvais pas voir le titre.  Quand elle arriva, il sentit le pouvoir émané de sa visiteuse.  Il ferma son livre et le posa sur la table.
-Bonjour Rachel, dit-il.  J’aimerais savoir ce qui t’amène jusqu’ici.
-Tu vas rire de moi mais, j’ai besoin de toi!  Tu peux bien me rendre un service avec tout ce que tu m’as fait endurer. 
-Je dois dire que je t’ai fait du mal et toi, en échange, tu m’as sauvé la vie.  Je ne pense pas que nous pourrions échanger ses quelques mots si tu ne m’aurais pas amené ici.  Karl voulait ma peau et …
-Je viens de te retrouver, dit une voix masculine en sortant de sous le couvert des arbres.
-Toi, ici!  Pourquoi Rachel as-tu amené cet homme?  Il va me tuer, s’époumona le fils de Satan.
-Il ne le fera pas et nous non plus, dit Éric en arrivant derrière son ami.
Hélène et Morgane entrèrent dans le champ de vision de Pedros. 
-Vous, vous …
-Ta potion ne fait plus effet, expliqua le roi.  Nous ne voulons plus tuer notre grande amie.  De plus, nous ne voulons pas ta mort non plus.  Nous venons ici en ami pour te demander un grand service, commença l’ancien mercenaire.
-Cependant, tu devrais quitter cet endroit paradisiaque.  Une guerre se prépare et, les meneurs du camp adverse veulent te rencontrer, continua la reine.
-Les meneurs seraient-ils, par hasard, Dieu et Satan?
-Tu ne te trompes pas sur ce sujet, répondit Morgane en approchant de cet homme qu’elle détestait lors de son invasion du palais. 
Elle le détestait pour le déchirement de sa famille et tout ce qui en suivit.  Cependant, l’état de tranquillité chez lui laissait ressortir sa beauté naturelle.  Elle le regarda avec intensité et Pedros se tourna vers elle.  Quand  leurs regards se croisèrent, le jeune homme revit cette jeune femme qui se rebellait sans arrêt.  Elle refusait, ostensiblement, ses avances et elle l’envoyait promener.  Tous acclamaient  la beauté de la princesse mais,  personne ne pouvait vraiment parler de sa beauté sans parler de son caractère de feu. Il se demandait s’il pourrait essayer un nouveau spectacle de charme sur la princesse.  Il savait qu’il pouvait, durant son emprise sur les trois dragons, soumettre la jeune fille avec sa potion mais, il ne voulait pas qu’elle l’écoute à cause de la magie.  Il voulait éveiller l’amour en elle plutôt que la haine.  Rachel suivit l’échange des deux et se posa des questions.  Quels sentiments liaient sa fille et cet homme?
-Je ne voudrais pas détruire votre idylle mais, la guerre est imminente et le temps nous manque, ria la mère de Morgane. 
La magicienne espérait seulement que dans le regard de sa fille la haine brillait et non l’amour.
- Oui, excuse-moi, répondit le fils de Satan en regardant sa protectrice et en se levant de sa chaise.
-Viendras-tu avec nous ou devrons-nous te forcer? demanda Karl en voyant lui aussi l’échange de regards qui le choqua.

    Alors, Rachel vit du coin de l’œil, un objet qui brilla et qui arrivait droit sur son mari.  Elle calcula la distance entre eux et se jeta sur lui.  Il tomba sur le sol avec elle sur lui.
-Un peu de retenu, dit-il. Nous devrions attendre d’être seule pour cela ma chérie.
Il se tut en voyant, l’arbre derrière lui, perdre toutes ses feuilles et mourir.  Il resta sans voix durant que sa femme se levait et lui tendait la main.  Il la prit et elle l’aida à se relever même si elle savait qu’il possédait assez de force pour se lever seul.

    Alors, ils entendirent un grognement terrible venant de la forêt.
-Me semble qu’aucune créature ne peuple cet endroit, rouspéta Éric. 
-Quelqu’un a dû passer avec nous, soupira la magicienne en se rendant vers le grognement.
-Attends Rachel, cria Karl en la voyant entré entre les arbres.
Les cinq attendaient leurs amies et se préparaient au combat.

non.  Tu n'en croiras pas tes yeux quand tu liras ce que c'est mais tu ne le sauras pas encore.  La vérité sera révéler dans quelques chapitres(le 126). 

Kero c'est bien ce que Sakura appelait la petite peluche jaune???

On va plaindre Séraphin avant de connaitre ce qui se cache dans la forêt où rien ne doit vivre!!! 
Chapitre 125

Séraphin regardait la ville Orée en bas de la colline.  Il vit l’arrivé de ses enfants et de sa femme.  Il savait de quoi retournerait leur discussion.  Il se sentait bien seul sans que son protégé lui casse les oreilles.  Il savait qu’il devrait le surveiller durant toute la bataille qui se déclencherait dans peu de temps mais, avant ce moment crucial, il respirait l’air frais sans lui sur ses talons.  Ce sacrifice ne lui pesait nullement.  Il recommencerait pour sauver sa seule fille. 
-Alors mon cher Séraphin, commença Dieu en se plaçant à ses côtés.  On surveille l’ennemi.
-Ceux que tu appelles ennemi sont, pour moi, mes seuls amis, soupira l’ange guerrier.
-Tu devras pourtant me défendre contre eux.
-Tu dois savoir que je ferais le minimum pour te maintenir en vie.
-Je n’en doute pas mais, que feras-tu quand tes enfants essayeront de me tuer?
-Tous sauront que ma vie dépend de la tienne.  Ils sont là à raconter aux quatre dragons ma situation…
-N’oublie pas que Satan a dit que Rachel est morte!
-Je ne crois pas le prince des mensonges.  Vous-mêmes vous lui donniez ce surnom quand je vous priais nuit et jour dans ma prison dorée. 
-Entendrais-je une plainte de mon ange?
-Ce n’est pas l’ange qui se plaint mais, l’homme que j’ai été.  Aveuglé par le pouvoir et la richesse, je ne voyais pas que vous projeter de détruire tout ce qui ombrageait votre propre pouvoir.  Même si vous deviez détruire la terre.
-Tu as voulu détruire cette femme toi aussi, cracha Dieu.
-Quand je l’ai rencontré, elle m’a montré la vérité.  J’ai vu clair en vous.  Vous vouliez que je tue celle qui m’a donné deux beaux enfants et maintenant, vous convoitez mon fils et ma fille.  Vous voulez, avec eux, faire renaitre les anges.  N’oubliez jamais que ce sont des nephilims. 
-Ce ne sont pas à cause qu’ils sont à moitié ange et à moitié humain qu’ils ne pourront pas engendrer de vrai ange.
-Écoutez, si on continue à parler de mes enfants comme de futurs donneurs d’ange, je pense que je vous tue de mes propres mains.
-D’accord.  Ne pense pas que la reine pourra sauver ta peau ce coup-ci car, elle papote avec ses dieux et déesses, ria Dieu.  Elle est une relique du passé.  Bientôt mon règne reviendra et je détruirais tout ce qui pense que la magie est pour les hommes.  Seulement les dieux peuvent utiliser ce privilège.

Séraphin se réfugia dans ses souvenirs et ses pensées.  Il pria les dieux et déesses dont Rachel lui parla de son vivant et il pria même son amie pour qu’elle lui vienne en aide. Si elle ne vivait plus sur terre, elle devait être une déesse maintenant et elle pourrait entendre ses prières désespérées.  Il espérait qu’elle l’écouterait plus que Dieu qu’il priait fort durant sa vie d’avant.  Il savait qu’il ne pouvait pas faire le difficile sur les personnes qui voudraient bien l’aider à se sauver de cette impasse.  Il pensa aussi à Lucinda et sourit en passant au sacrifice fait pour lui sauver la vie.  Un père devait savoir protéger ses enfants des monstres comme Dieu.  Il s’en voulait seulement de ne pas penser à mettre ses bébés en garde contre les esprits comme Dieu.

Excusez le délai ais, je ne peux plus aller sur poney vallée avec mon nouveau ordinateur portable à cause d'une mise à jour google chrome qui a fait que le flash n'embarque plus.  Si je joue sur firefox ou sur explorer, le jeu est extrêmement long.  Je joue sur un autre portable mais, mes livres ne se trouvent que sur mon nouveau portable. Une longue histoire pour ... en tout cas, j'essayerai d'envoyer des bouts de mon roman quand je prendrais ce portable(je le prends assez souvent pour écrire mon roman par exemple) .  Espérant que google chrome fera bientôt une nouvelle mie à jour o`le flash embarquera. 

Voici la suite.  On va enfin savoir ce qui se cache dans la forêt!!!

Chapitre 126

Tous les cinq regardaient l’endroit où Rachel avait disparut de leur vue.  Ils entendirent des grognements et des bruits de lutte.  Les arbres bougèrent où la reine devait mener un combat.  La magicienne ressortit souriante.
-Voici notre monstre, dit-elle en tenant un être lumineux et ailé entre ses mains.  Une fée!
-Je vous demanderai de me laisser finir ma vendetta contre cet homme qui a capturé plusieurs de mes amis et, même certaines d’entre eux ne respirent plus.
-Je vais vous laisser voler mais, pas de tuerie, dit la femme en séparant ses mains.  De plus, j’aimerais que vous parliez plus fort, on ne vous entend pas bien.

    La fée s’envola et grandit grâce à sa magie.  Elle prit une grandeur humaine.  Un homme mince aux cheveux et aux yeux bleus portant une fleur de magnolia qui formait pantalon et chemise apparut devant eux.  Il ne sembla pas très menaçant jusqu’à ce qu’il sortit de sa ceinture en cuir une épée.  Il la pointa vers la gorge de Karl qui recula devant l’arme meurtrière.  Rachel se plaça entre les deux belligérants. 
-Que se passe-t-il?, demanda-t-elle sans bouger devant la lame.
-Il a tué des amis à moi.  Les autres ne sont que l’ombre de celles qui voletaient avec moi autour du Grand Chêne. 
-Tu veux tuer mon mari pour laver l’affront de l’emprisonnement de tes amis fées et dryades.  Je ne me trompe pas!
-La reine connait toujours les mots justes.  Cependant, le roi doit mourir pour expier son forfait.
-Karl n’est pour rien dans cette histoire, dit Pedros en s’approchant.  Je suis l’insvestigateur de cette idée.  Satan me l’a chuchoté et moi, pas plus fin, j’ai ordonné à cet homme de mettre en cage toutes les créatures différentes des humains. 
-Alors, c’est toi qui doit mourir, s’écria la fée.
-PERSONNE NE VA MOURIR, hurla la magicienne en se mettant devant la créature.  Si tu veux tuer quelqu’un, tu devras prendre ma vie avant.  Je suis tannée de toutes ses batailles stériles.  On ne pourrait pas avoir une guerre sans sang pour une fois.
-Une guerre s’abreuve du sang ma chérie, chuchota Karl dans l’oreille de sa femme.
-Écoutez madame, commença la fée avec son épée, je vous couperai en rondelle si cela m’amène à pouvoir remplir ma mission de vengeance.  Je veux que ceux qui ont détruit la vie de mes amis payent leurs dettes par leur sang.

    À ses mots, la fée leva son épée pour en assener un coup sur Rachel.  Celle-ci donna un coup de talon gauche sur le sol.  Elle revêtit ses habits d’amazone et sortit son épée de son fourreau.  La magicienne arrêta la course mortelle de la lame de la créature.  L’être ailé grogna.  Pedros Sanchez resta sans voix en voyant cette métamorphose en vrai.  Il se souvenait de photo mais, la transformation réelle ne pouvait se décrire en mots.  De plus, ce tissu avantageait la silhouette de la femme qui le portait.  Quand il vit Karl reculer, il fit de même. Il savait qu’une lutte à l’épée demandait de la place pour les deux adversaires. 
-Enfin ma reine, vous affichez vos couleurs, ria la fée.
-Je me défends!  Je n’allais pas me laisser couper en rondelle sans réagir.
-J’ai toujours rêvé de vous voir combattre avec votre épée d’amazone mais, je ne voulais pas être celui qui recevrait les coups.
-Il suffisait de demander.  Je m’amusais souvent en combat d’escrime contre mon mari et je gagnais souvent.
-Je te laissais gagner, ria son époux. 
-C’est moi ou elle fait ami-ami avec celui qui voulait la tuer voilà quelques minutes, chuchota le fils de Satan dans l’oreille du roi.
-Ma mère est toujours ainsi, dit Morgane en approchant des deux hommes.  Elle ne veut pas faire de mal à cette fée qui ne comprend pas vraiment ses motivations.  Il a mal à cause des mortalités et des changements que l’enfermement a faits à ses amis.   Il veut réparation mais, ne sait pas vraiment quoi faire.  Il pense que tuer la cause de cet événement lui amènera l’apaisement d’une telle douleur mais, il n’en est rien. 
-On dirait que tu parles en connaissance de cause.
-Qu’en pensez-vous Mr. Sanchez?  Vous avez détruit l’union de ma famille et le royaume.  Les créatures détestent les magiciens et les Prieurs veulent reprendre le pouvoir pour que Dieu reprenne ses anciennes habitudes.  Je me demande vraiment ce que ma maman a vu en vous en vous sauvant de la haine de mon père. 
-Vos paroles sont dures dame Morgane!
-VOUS DEUX, cria la fée, j’essaie d’entendre la reine parlée et vous l’enterrez. 
Rachel sourit.  Elle voyait bien que sa fille détestait le fils de Satan.  La haine et non l’amour.  Cependant, son père lui répétait souvent : « entre la haine et l’amour  il a un pas si infime qu’on ne peut le distinguer. »  Elle se souvint aussi qu’elle détestait Karl avant de devenir sa femme.  Elle enleva ses pensées de sa tête.  Il fallait qu’elle résolve le problème que causait cette fée avant.  De plus, le temps passait et dans une journée et demie les Prieurs débarqueraient pour parlementer avec Pedros. 
-Que faisons-nous maintenant … je ne sais même pas votre nom?
-Je me prénomme Fabien.  Je suis le prince des fées et je veux aider mon peuple.
-Je dois vous dire que tuer le roi et le fils de Satan n’aidera en rien la cause des fées.  Je crierai vengeance à mon tour et je tuerai, peut-être, plusieurs des vôtres avant d’écraser votre cœur encore chaud dans mes mains, dit-elle en faisant le geste de ses paroles par sa main libre.
-Pas faux, dit-il en remettant son épée à sa ceinture.  Pourriez-vous faire quelques choses pour les fées qui sont affectées par leur emprisonnement injustifié?
-Il y a deux manières.  Soit un sort d’oubli ou qu’elle se remette d’elle-même.  Le cerveau est fort et elles enfouiront ses souvenirs douloureux dans leur tête sans y repenser.  Sauf si un événement semblable leur arrive.  Le mieux à faire, cher prince, est de repartir auprès de votre peuple et de parler de ces atrocités avec eux.  Parler leur fera du bien et aideront à leur faire oublier. 
-Pas fou!  Merci de m’aider ma reine.  Je venais pour tuer un être abominable dans mes idées et je repars le cœur léger et sans sang sur mes mains.  Je vais suivre votre conseil.  Cependant, il faudra que je sorte d’ici.

    Rachel, la fée et les cinq autres compagnons repartirent vers l’endroit où la magicienne chanta la même chanson pour ouvrir la porte.  Ils repartirent tous dans la forêt originelle.  Fabien remercia encore la reine de ses conseils et il repartit.  Rachel reprit ses vêtements de tous les jours : t-shirt représentant un animal quelconque, aujourd’hui c’était un grizzly se tenant sur ses deux pattes arrières avec son habitat en arrière plan et une paire de jean bleu. 
-Maintenant, je pense que je vais venir avec vous, répondit Pedros.  Je vois que Rachel connait encore le maniement des armes.
-C’est comme le vélo, dit-elle. On n’oublie jamais le premier qu’on transperce avec elle.
Le fils de Satan tressaillit en voyant le regard meurtrier que la magicienne lui lançait.  Il comprenait que cela touchait le fait des regards lancés à sa fille.  Il voulait la charmer mais, il voulait aussi survivre.

J'ai essayé de télécharger flash à nouveau mais, rien.  Je ne suis pas capable d'aller sur poney vallée avec mon nouvel ordinateur.  Il télécharge à 37% et arrête.  Peut-être une histoire avec window 8???

Pour la sortie de mon premier tome, c,est remis.  Probablement, je devrais avoir de nouvelles nouvelles au cours de la semaine(enfin, je l'espère) 

Suite avec les chihuahuas!!! 

Chapitre 127

    Le soleil commençait sa descente lorsque les chihuahuas ainsi que les deux mères et leurs deux fils arrivèrent en vue de la ville.  Aucun arrêt pour arriver plus vite.  La traversée ne prenait pas une journée entière habituellement mais, les enfants aimaient flâner et il fallait les retrouver ensuite.  Surtout le petit Flynn qui se servait de ses pouvoirs pour fausser compagnie à sa mère.  Crack pot usait, ensuite, des siens pour le retrouver et, cela les éloignaient souvent de leur destination.  Quand elles virent enfin les tourelles du château, elles poussèrent un soupir de joie et les enfants se sentirent attirer par cet endroit qui respirait la magie.  Les six compagnons descendirent la colline qui surplombait la ville et où les Prieurs se cachaient.  Ceux-ci, en voyant des gens arrivés vers eux, se cachèrent partout.  Rien ne subsistait du camp initial.  Les amies passèrent sans rien remarquer et se dirigèrent vers Orée le cœur léger sans rien connaitre des rumeurs de guerre. 

    Quand elles franchirent les arbres qui servaient de portes pour pénétrer dans l’enceinte de la ville, elles suffoquèrent sous le stress qu’elles ressentaient. 
-Que se passe-t-il ici? demanda Aria soudain inquiète.
-Je ne sais pas, répondit la chihuahua blonde.
-Les Prieurs veulent attaquer la ville sauf s’il parle avec Pedros, expliqua Médora qui  connaissait la cause d’une telle agitation.
-Vous ne pensiez pas nous avertir, dit la licorne noire choquée.  Nous avons des enfants et nous ne voulions pas leur montrer l’horreur de la guerre si jeune.
-Écoute  Ombre, commença Crack pot, je pense que nous devrions nous mettre à la recherche du père de ton fils.
-Tu n’as pas tort.

    Ils entrèrent tous dans la foule.  Aria cherchait Pierre des yeux en tenant Flynn dans ses bras protecteurs.  Elle ne voulait pas le perdre dans toute cette foule disparate.  Elle vit des êtres qu’elle ne savait pas qu’il existait.  Des créatures qu’on ne voyait que dans les livres de contes marchaient à côté d’elle et parlaient entre eux. 
-Tu sembles inquiètes? demanda Ombre.  Tu connaissais l’existence de ce monde sans jamais le voir.  Maintenant que tu le vois, tu sembles tendue.  Tu ne me craignais pas quand tu m’as entendu te parler la première fois.
-Un cheval ne me fait pas peur mais, quand je vois un ogre mangeur d’enfant passer auprès de moi, je … je crains pour la vie de mon fils.  Il connait le monde de la magie mais, pourra-t-il reconnaitre les méchants des gentils dans un monde où on ne peut pas se fier à l’apparence?
-Les magiciens ressentent des choses qu’une humaine sans magie ne peuvent pas.  Ce monde est le sien et il saura vivre dans celui-ci sans mourir devant une bête abominable.  Son père vivait ici et il ne possédait aucun pouvoir magique.  Il n’est pas mort!
-Je ne pense jamais que mon fils détient des pouvoirs puissants même s’il les utilise si souvent et c’est vrai que Pierre n’en ai pas mort.  Moi qui ne le croyais pas quand il me parlait de cette ville et de ces créatures qu’ils côtoyaient.

    Alors, Aria regarda dans la direction du palais et elle vit deux hommes, une femme et deux êtres ailés en sortir.  Elle reconnut rapidement celui  sans qui elle ne pourrait survivre.  Elle fendit la foule sans penser à autre chose qu’à sa destination finale.  Flynn se collait sur sa mère pour éviter de se faire mal en se cognant sur une autre personne.  Quand la jeune femme arriva près de l’homme, elle se jeta sur lui et lui donna un baiser sur la bouche sans que celui-ci ne puise faire un geste.  Quand Pierre vit sa douce, il ouvrit ses bras.  Elle se glissa à l’intérieur avec son fils.  La famille réunit se mit à rire.  Le bonheur des retrouvailles.  Les quatre personnes autour du jeune homme sourirent devant un tel déploiement d’amour.  Plusieurs se tournèrent aussi vers le couple enlacé et virent ce pourquoi ils se battraient tous. 

    Ombre souriait de voir que son amie se trouvait auprès de l’homme qu’elle aimait mais, elle ne trouvait pas le sien.  Les chihuahuas cherchaient aussi de leur côté mais rien.
-Maman, dit Lucas, est-ce que je peux aller boire?  Je vois une petite rivière qui serpente à travers ses arbres.  Son eau semble si bonne et fraiche.
-Vas-y mon petit!  Cependant, reviens auprès de moi ensuite.  Je ne veux pas te perdre.  Tu es si jeune.  J’oublie souvent que tu partages ma vie que depuis quelques jours.
-Maman, je ne partirai pas longtemps, dit le jeune centaure en passant la ligne d’arbres qui cachait la rivière.
Ombre ne le vit plus quand il arriva près de l’eau.

    Lucas regardait autour de lui.  Il ne voulait pas qu’il lui arrive un problème lors de sa première escapade en solo.  Il vit des sirènes qui nageaient dans la rivière en s’éclaboussant.  Un homme et une femme aux cheveux et aux yeux aussi bleus que l’eau qui les entourait.  Des fées voltigeaient autour des plantes qui bordaient le sinueux cours d’eau.  Leurs ailes transparentes miroitaient sous les rayons du soleil et les fées ressemblaient à des petits soleils miniatures.  Tous se qu’ils voyaient autour de lui ravissaient ses yeux.

     Alors, ses oreilles l’informèrent d’une certaine incohérence dans ce tableau paradisiaque.  Il entendit des pas à côté de lui.
-Bonjour petit, lui dit un homme en approchant de lui.  Je ne voulais pas te faire peur.  Où se trouve ta maman? Tu l’as perdu?
-Messieur, répondit Lucas, ma mère m’attend de l’autre côté de ses arbres.  C’est la première excursion seul que je fais depuis ma naissance.
Le sorcier regarda le petit centaure et reconnut un peu de lui plus jeune.  Les cheveux et les yeux noirs, le visage semblable.  Il pensait se voir dans un miroir avec plusieurs années en moins mais, seulement sur le haut et sans l’étoile noire qui arborait son front.  Le bas ressemblait trop à une licorne qu’il connaissait bien. 
-Pourrais-je savoir le nom de ta mère?
-Pourquoi? demanda le jeune centaure en se penchant pour boire en gardant un œil sur son interlocuteur.
-Je connaissais une licorne noire voilà quelques temps que j’ai perdus de vue.  Je la recherche … je pensais la trouver ici mais …
-LUCAS, cria sa mère, as-tu fini de boire mon chéri?  Je trouve que tu prends trop de temps.  As-tu un problème?
-Non maman.  Je parle à un homme qui me ressemble.
-Qui te ressemble?
-Venez avec moi messieur!  Vous saurez si ma mère est la licorne que vous recherchez car, ma maman est de cette race.
   
Les deux sortirent ensemble.  Quand Ombre vit qui suivait son fils, elle sentit des larmes coulées sur ses joues.  Devant elle se trouvait le père de son fils.
-Daymon, s’écria-a-t-elle.
-Je te cherchais ici et tu te trouvais ailleurs ma chère amie.  De plus, tu as un petit bonhomme qui te suit maintenant, répondit-il en s’élançant vers la licorne et en prenant son cou dans ses bras.
-Ce centaure est ton fils.  Lucas, je te présente ton père!
-Ombre, je trouvais qu’il me ressemblait mais …  Cela fait quelques mois qu’on … Je  ne pensais pas que cela était possible.  La sorcière …
-Elle voulait mon enfant que je portais déjà à cette époque. Lors de la purge des créatures, la sorcière se sauva me laissant seule dans cette écurie.  Elle espérait que personne ne vienne me chercher.  Cependant, tous les chevaux furent amenés pour passer des tests que j’échoua.  Les gardiens crurent avoir une jument enceinte devant eux.  Ils décidèrent de m’amener dans les écuries royales.  Mon bébé agrandirait le troupeau.  Tout les chevaux revint chez eux sauf moi et ceux qui se trouvaient être des créatures chevalines.  La propriétaire de l’écurie où la sorcière m’avait caché ne voulu pas me ravoir car, cela faisait longtemps que la sorcière ne payait pas mes soins. Tu dois savoir qu’une jument enceinte demande plus de fourrage qu’une autre.   Je ne pensais pas non plus qu’une licorne et qu’un humain pouvait donner un bébé.  Nous avons la preuve que cela se peut maintenant. 
-Pourtant, tu revêtais une forme humaine quand …  tu comprends ce que je veux dire.
-Oui.  Je ne sais pas ce qui se passe avec mes ovules mais, je suis avant tout une licorne noire.  Je peux me métamorphoser mais, je ne peux pas changer ma vraie nature.  Tu n’aimes pas ton enfant?  Il est beau et il porte notre double bagage.
-Je l’adore même, dit le sorcier noir en se mettant à genoux pour voir le centaure de plus près.  Comment t’appelles-tu?
-Je me nomme Lucas … papa.
-Assez bizarre de se faire appeler « papa ».  Je ne pensais pas laisser de descendance sur cette terre.
-Quand on joue aux fesses, ria une voix féminine derrière eux, il faut s’attendre à avoir les conséquences.
-ARIA, s’écria Daymon avant de se tourner vers son amie.  J’espérais que tu survivrais à la chute!
-Un unisus m’a repêché.  Il s’appelle Rainbow et sa mère est la licorne blanche en chef de la forêt.  Sa naissance fut causée par un sorcier noir.
-Oups!  Ma création t’a sauvé de ta chute.  C’est comme si je t’aurai …
Il s’arrêta de parler en voyant le jeune homme qui fronçait les sourcils.  Il ressemblait à Karl mais sans les muscles et avec une couleur de cheveux différentes.  Cependant, avant la transformation de celui-ci en dragon noir, il possédait cette couleur de cheveux. 
-Daymon, dit l’inconnu.  Tu ne te rappelles pas de moi.  C’est vrai que je devais avoir trois ou quatre ans la dernière fois qu’on s’est vu. 
-Pierre?  C’est bien toi?  Tu as grandi et tu as tellement changé depuis notre dernière rencontre!
-Je pense qu’il sait qui tu es mon chéri à cause que je suis à tes côtés et qu’il connait l’identité du père de mon … où se trouve Flynn?
-Chihuahua à la rescousse, dit Crack pot en reportant le chenapan. 
-Bonne baby-sitter, ria le sorcier noir.  Tu demandes combien de l’heure?  J’aimerais bien prendre quelques temps seule avec ma charmante amie.
-Ils veulent fêter leur retrouvaille et, peut-être, faire une petite sœur à Lucas, chuchota Aria à l’intention de la chihuahua blonde qui bouffa de rire.

J'ai essayé plusieurs fois sans résultat intéressant.  Je joue sur le portable que j'ai donné à ma mère et j'attends une nouvelle mise à jour de google chrome.  Je déteste cela mais, je ne vois pas d'autres alternatives.  Une personne m'a dit que google chrome avait ce problème dans la dernière version.  Je dois dire que je ne télécharge pas la nouvelle version sur ce portable-là!!   Je vais survivre ... et continuer d'écrire grâce à mes clés!!!  Et quand j'ai pas besoin d'aller sur poneyvallée, je pourrais m'amuser avec mon nouveau portable.  Ce qui est plate c'est que je vais sur poney vallé tout les soirs. 

On continue l'histoire du côté de Rachel!!!   

Chapitre 128

-On va s’arrêter pour la nuit, dit Rachel en voyant le soleil se coucher à l’horizon.  Demain, nous partirons à l’aube et on devrait arriver au milieu de la matinée.  On aura le temps d’arranger notre cher Pedros avant qu’il rencontre les représentants des Prieurs.
Tous arrêtèrent leur marche.  Ils s’assirent tous sur le sol et se massèrent les pieds.  Seulement la reine marcha encore pour empêcher les mauvaises surprises ou les visiteurs non désirés.  En observant les alentours, la magicienne pensa à sa fille et au fils de Satan.  Depuis que le jeune homme se trouvait hors de son habitat, il marchait auprès de Morgane et ils parlaient beaucoup ensemble Des fois aussi ils riaient comme deux amoureux.  Elle pensa qu’elle devrait en discuter avec sa fille après le repas du soir.  Quand elle arriva, Pedros se trouvait à côté de la jeune femme et ils parlaient encore.  Cela choqua la reine.
-Morgane, dit Rachel, tu veux venir ici un instant.  J’aimerais te parler.
-Oui maman, répondit-elle en se levant pour rejoindre sa mère derrière les arbres.  De quoi veux-tu m’entretenir? demanda-t-elle quand elle arriva au côté de Rachel.
-De ton comportement avec Pedros?  Sais-tu qui il est réellement?
-Je sais beaucoup de choses sur lui.  Il voudrait faire quelques choses pour se racheter à tes yeux, il …
Elle ne finit pas sa phrase.  Ils entendirent un cri de souffrance venant de l’endroit où les autres se trouvaient.  La magicienne et sa fille tassèrent les arbres qui les cachaient du reste du camp.  Elles virent Pedros qui criait en se tenant la tête à deux mains et en se roulant sur le sol.
-VA-T-EN, criait-il.
-Maman, que se passe-t-il? demanda Morgane à sa mère.
Rachel s’agenouilla devant le jeune homme et mit ses mains sur ses tempes en l’empêchant de bouger.  Elle ferma les yeux et vit ce qui causait sa souffrance.  Satan essayait de reprendre le contrôle sur son fils mais celui-ci lui opposait une farouche opposition.  Il ne voulait plus que le prince des enfers lui dicte sa conduite.  La femme leva les yeux et cria « Gémens ».  Le diable hurla et disparut.  Ensuite, quand elle ouvrit les yeux, elle vit cinq paires de yeux la regarder d’un drôle d’air. 
-Qu’est-ce que ce mot? demanda Éric.  Je ne l’ai jamais vu dans les livres que je lisais au Vatican et tu ne l’a jamais dit devant nous avant aujourd’hui.
-Ce mot … une histoire s’y rapporte.  Vous devez connaitre cette aventure  avant que je vous dévoile son effet. 
-Raconte ma chérie, dit Karl, je pense que tous sont suspendus à tes lèvres sensuelles.
-Il n’y a que toi qui peux user d’humour pour demander à une personne de te raconter une histoire.
-Je peux user d’une autre forme de torture avec toi si tu veux, dit-il les yeux brillants de désir.
-Je pense que je vais raconter et … 
-Zut!
-Tu ne veux pas entendre mon aventure avec un autre homme.
-Un homme!  Je te pensais vierge lors de notre lune de miel.
-Aventure ne veut pas toujours dire sexe mon cher époux.
-Arrêtez de vous chamailler, dit Éric.  Il y en a qui veulent entendre l’histoire.
-Je dois avouer qu’elle n’est pas aussi passionnante que  nos histoires habituelles.  Elle est même … en tout cas, vous comprendrez.
Tous s’assirent sur le sol autour d’un feu magique qui dégageait de la chaleur et de la luminosité.  Sous l’éclat de la lune et des étoiles, Rachel commença son histoire.  Morgane servit le souper durant que sa mère narrait une histoire qui remontait à une époque lointaine où la magie ne formait pas le noyau de leur vie.

et oui. 
Je eux enfin écrire avec mon nouvel ordinateur.  Le trouble ne venait pas de flash mais, d'une mauvaise mise à jour de google chrome. Je l'ai retéléchargé et mis sur l'autre et hop, je réussis à aller sur poney vallée avec      Une vraie réparatrice "maytag" comme on dit par chez nous!!! 

Par le flash back, tu devras attendre au prochain chapitre(j'aime introduire des histoires entre d'autres histoires.  Cela donne une activité et cela semble moins statique).

Chapitre129

-Je vais avertir nos supérieurs, dit un homme qui regardait derrière la colline.  Je n’aime pas cette agitation que je vois en bas.
-Geoffrey te fera pendre si tu lui rapporte que les créatures bougent trop à ton goût, dit un autre homme.
-Nous sommes des sentinelles, nous devons …
-Ne prends pas ton poste trop au sérieux.  Fais comme moi et dors.  Le soleil se couche et moi, la nuit, je dors.

    Alors, durant qu’une des sentinelle dormait, l’autre regardait leur ennemi et trouvait que quelque chose clochait mais, il ne savait pas quoi.  Les étoiles et la lune éclairaient la ville en-dessous quand une ombre cacha la clarté des astres célestes.  La sentinelle réveillée leva la tête.  Il ne vit qu’une grosse créature ailée qui l’attrapa et l’amena vers le ciel pour en faire son casse-croûte.  Cependant, le jeune homme ne voulait pas mourir à 15 ans pour une folle religion.
-S’il-vous plaît, euh … euh …, commença la proie.
-Je n’ai pas l’habitude de parler avant de manger, grogna la créature.
-Pourtant, je vis encore malgré ma capture.  Je voudrais vous demander pourquoi vous voulez me dévorer?
-Car j’ai faim! 
-Il y avait aussi l’autre sentinelle.  Pourquoi moi?
-Vous étiez moins compliqué à attraper. Je meurs de faim et j’aimerais bien manger sans interruption de votre part, dit le wyverne en approchant l’humain de sa gueule ouverte.
-Je n’ai que 15 ans et je n’ai pas pu choisir ma religion.  Je veux vivre, connaitre une fille et fondé une famille avec elle.  Je … je veux savoir ce que c’est que vivre autrement que dans une grotte humide ou mes frères et sœurs meurent de pleins d’épidémies étranges.  Je … je, pleura l’adolescent.
-Tu n’as que 15 ans et tu te bats pour l’ennemi.  Je ne fais que tuer un être qui ne me tuera pas lors de la bataille finale.  Tu sais ce que c’est qu’une guerre.  L’âge n’est pas une excuse pour laisser la vie à un autre.  Qu’est-ce qui me dit que tu ne me perceras pas d’une lance si je te remets sur le sol? répondit l’être ailé en regardant cet homme dans les yeux en fermant sa mâchoire.
-Que voulez-vous en échange de ma pauvre vie?
-Un dîner!  Cela fait quelques jours que je n’ai rien mangé et mon ventre crie famine. 
-Si vous mangeriez mon compatriote et que nous devenions amis ensuite.  Cela vous agréerait-il?
-Un repas et un ami dans le camp adverse?  Intéressant!
-Je pourrai même partir avec vous et devenir un citoyen de la ville que je vois en-dessous.  Je suis un peu jaloux d’eux.  Je peux vous dire aussi que je ne suis pas le seul qui les jalouse.  Nous sommes un peu comme vous, nous mourrons de faim durant que nous les voyons manger à leur faim.  Nos dirigeants, eux, dévorent les rations mais, ne nous laissent que des miettes.  Je ne serais pas un bon dîner pour vous.  Je n’ai que la peau sur les os.
-Vous allez sacrifier votre ami?
-Non.  Je déteste cet homme depuis le primaire.  C’est un truand et les autres l’honorent car, il sait comment se défendre et il ne cille pas de l’œil quand il faut tuer un autre humain.
-Ce serait plus profitable de manger cet être abject que de manger un intellectuel.  Tu pourras donner des indications à mes amis.
-Sur quoi?
-L’emplacement de votre camp et votre nombre.
-Qui est votre ami?
-Le prince Raistlin.  Comme tu peux voir, je suis un wyverne comme mon père mais, du sang de griffon coule dans mes veines du côté maternelle. Je suis un prince.  Ma mère est la reine des griffons et mon père, le roi des wyvernes. 
-Je peux connaitre ton nom?
-Bien sûr.  Je me nomme Lili.
-Tu es une femelle?
-Oui, cela te dérange.
-Pas le moins du monde Lili, je m’appelle Lucius.
-Alors, allons réveiller mon futur dîner et allons parler à mes amis ensuite!
-Je te suis comme tu me tiens encore dans ta patte, ria l’adolescent.

Je suis bien de ton avis. Sinon,il aurait fini en casse-croute. 

J'ai eu une idée pour que tu puises voir ma couverture de livre.   http://leseditionspremierechance.com/si … on-com.php
Va là et tu la verras ainsi qu'une photo de moi(mais cela n'est pas important).  Tu m'en diras des nouvelles(de la couverture de roman que je parle)

Voici l'histoire de Rachel avec le mot étrange(en passant, j'ai vécu cette histoire). 

Chapitre 130

Rachel regarda son auditoire et commença son histoire.
-Cela fait quelques décennies.  Je devais avoir dans les 18 ans environ.  Vous savez tous que mes débuts en magie remontent à mes 15 ans alors, cela faisait environ 3 ans que j’utilisais la magie.  Il faut dire que je possédais, à l’époque, une bonne liste d’ennemi dans le monde des esprits.  Mes amis ne pouvaient pas toujours me protéger et mes minces pouvoirs ne faisaient pas peur à ceux qui voulaient ma mort.  Les dieux que je compte parmi mes amis se concertèrent à ce sujet.  Il en résulta une aventure avec une personne que je ne pensais jamais mélanger à la magie. 
    Tout se passa près de la date de Noël.  Ma sœur et son école préparèrent un spectacle et ma mère demanda d’y être.  Toute la famille s’y trouva et je rencontra un ami du secondaire à qui je fis promettre de protéger ma sœur l’année suivante. Je connaissais des personnes qui voulaient taxer les petits nouveaux et je ne pouvais pas être là car, je commençais le CÉGEP l’année suivante.    On décida de s’assoir sur deux chaises côte-à-côte.  On parla un peu et tout à coup, il me dit qu’un mot se trouvait écrit dans ma main.  Je regarda et vit le mot en question écrit dans la langue des esprits.  Je savais que le jeune homme, avec qui je parlai, possédait quelques pouvoirs magiques car, il me l’avait dit quand je lui avais avoué les miens mais, pour voir dans le monde des esprits, il fallait un minimum de puissance.  Le mot inscrit était « Gémens ».  Ni lui, ni moi ne comprenait ce mot étrange. 
    Je revins chez moi et demanda aux dieux et déesses pourquoi ce mot se lisait sur ma main lors du spectacle de ma soeur.  Ils me dirent que ce mot ferait fuir n’importe quel esprit qu’il soit puissant ou non.  Ensuite, celui qui en serait victime oublierait le mot grâce à Calypso, la déesse de l’oublie.  Je pourrais utiliser ce mot comme je voulais mais, il fallait que je fasse attention car, plusieurs essaieraient de le connaitre.  Je pourrais avoir quelques problèmes au début mais ensuite, je n’aurai peut-être plus besoin de ce mot.  Je révéla cette histoire à mon ami qui pouvait l’utiliser à son tour.  Cependant, comme pour moi, les esprits victimes l’oublieraient.  Je me souviens qu’il s’appelait Maxime.  Je le perdis de vue un an plus tard.  Il fut d’une grande aide pour  ma petite sœur qui ne savait rien de notre pacte.
Vous pouvez maintenant utiliser ce mot que vous connaissez mais utiliser avec …
-… parcimonie, finirent Éric, Hélène, Karl et Morgane en riant.
-Tu répètes tellement souvent ce mot qu’on sait ce que tu allais dire, ria son mari en la prenant dans ses bras et en lui volant un baiser.
-Maintenant, vous savez que je n’utilise presque plus ce mot à cause de mes pouvoirs magiques puissants.  Je le prends toujours en dernier recours.  Pour lui, je l’ai pris tout de suite car, je ne trouvais pas de solution rapidement.  Je dois te dire Pedros que tu pourras utiliser ce mot à chaque fois que Satan essayera de prendre possession de toi.  Ainsi, il ne pourra plus t’ennuyer et tu choisiras mieux ton camp.  Suis ton cœur pour choisir, c’est lui qui trouvera le bon chemin à suivre. 
Rachel remarqua que tout le long de son discours, le fils de Satan observait sa fille et lorsqu’elle lui parla du cœur, il fit oui de la tête.  Elle sut que le cœur de cet homme appartenait à Morgane.  Elle seule saurait quoi en faire.  La magicienne savait qu’elle devrait vraiment discuter avec sa cadette sur ce sujet.

    Alors, tous commencèrent à s’arranger pour le dodo.  La reine dit qu’elle pouvait, encore, rester debout toute la nuit.  L’énergie donnée par les créatures fantastiques l’empêcherait de dormir.  Tous se dirent « bonne nuit » et Éric éteignit le feu.  Rachel s’assit sur une souche d’arbre placée près de ses amis et regarda les étoiles et la lune.  La constellation « Draco », comme d’habitude, attira ses yeux vers elle.  Les astres célestes la constituant semblaient briller de plus en plus fort comme pour fêter les retrouvailles des quatre dragons.

Merci pour la couverture.  Pour le mot, je ne l'ai pas changer mais, il n'a pas de signification en soit.  Je le dis et les esprits se sauvent en oubliant le mot.    Je te dis que cela m'étais arrivé!!!     Je n'ai jamais compris moi-même le mot en soit mis, l'ai utilisé souvent.  Il ne faut pas trop se casser les neurones avec ce mot, il n'y a jamais de grandes idées mais, une grande magie!!! Je m'arête ici pour placer u autre chapitre. 

On continue ici à voir la nouvelle amitié bizarroïde entre l'ancien futur casse-croûte et son prédateur. 
Chapitre 131

-Prince, prince Raistlin, cria un elfe en arrivant en courant vers celui qu’il appelait. 
Celui-ci se promenait sous les étoiles avec sa nouvelle flamme, Lucinda.
-Que se passe-t-il? demanda-t-il en se tournant vers celui qui l’appelait.
-Le grif… wyver … En tout cas, Lili voudrait vous entretenir.  Elle sait bien des choses sur le camp adverse.  De plus, elle est accompagnée d’un adolescent qui dit vivre parmi les ennemis et  qui désire rejoindre nos rangs.
-Ma chère, je dois laisser votre beauté pour les affaires urgentes du royaume.
-Je viens avec vous, répondit l’ange.  Je veux tout connaitre de vos fonctions.
-C’est ma particularité la moins intéressant de ma personne.
-Allons-y, dit-elle en lui prenant le bras et en suivant l’elfe. 

    Lili attendait le prince en se léchant les babines.  L’humain lui restait sur l’estomac mais, elle se sentait de mieux en mieux.  À ses côtés, Lucius se frottait les mains et regardait avec convoitise les fruits sur la table de bois non loin d’eux.
-Tu as vraiment faim, grogna sa nouvelle amie.
-Affamé oui.  Une seule pomme ferait mon bonheur, répondit-il.
-Jellyfish, cria la wyverne, tu peux amener une pomme à mon jeune ami.
-Pas de problème Lili, dit la méduse en remettant ses boucles d’oreilles pour ne pas changer personne en pierre.
-C’est … c’est …, s’étonna l’adolescent.
-Une vraie méduse.  Une des première adepte de Rachel.  Elle arriva sur le dos d’un pégase, Hector, qui lui servait d’yeux qu’elle n’ouvrait jamais.  Notre reine lui donna des boucles d’oreilles qui lui donnent une apparence humaine et ses yeux ne changent plus les gens en pierre si elle les porte.
-Wow!  C’est triste qu’elle ne soit plus de ce monde.  J’aurais aimé la connaitre!
-Qui t’a dit de telles âneries?
-Notre … un esprit qui nous aide pour détruire votre royaume.
-Elle vit!  Elle a fait croire à sa mort pour que les vôtres croient que votre victoire est acquise.  Avec sa fille et les trois autres dragons, ils sont partis chercher Pedros Sanchez.
-Le fils de Satan?
-Lui-même.  Rachel se fera passer pour morte jusqu’à l’affrontement final. 
-Elle … elle a survécu à sa bataille contre le gros dragon noir?
-Oui.  Avec l’aide de Karl qui possède un sang antipoison.
-J’entends que vous parlez de mon père, dit Raistlin en arrivant.
En même temps, Jellyfish lança une pomme que le prince attrapa.  Il la tendit à l’adolescent qui sembla à un cadavre vivant.
-Merci … euh je dois vous faire la révérence, lichez le sol où vous marchez … je n’ai pas pensé à demander à Lili comment vous recevoir.
-Quoi? Beurk!  Rien de tel!  Nous vivons tous égaux.  Pas besoin de vous abaisser pour … en tout cas, je ne demande pas que vous vous mettez à genoux pour montrer ma supériorité.  Ma mère et mon père se sont battus pour le royaume et, les créatures leur ont donné ce statut.  Ils essaient seulement de maintenir l’ordre entre les humains et les animaux fantastiques.  C’est pour cela que je suis le prince … par ma naissance.  J’aurai pu naitre … en tout cas, on comprend le concept, répondit le principal intéressé.
-Je pense qu’il comprend, répondit Lucinda en s’approchant.
-Un ange? s’écria l’adolescent après avoir avalé sa pomme.
-Qu’à moitié, répondit-elle.  Ma mère est une druidesse.  Mon père se nomme Séraphin, le protecteur de Dieu.
-Oui je l’ai vu.  Assez imposant!
-Lucius, tu t’éloignes de la discussion principale, rugit Lili.
-Prince Raistlin …
- Appelle-moi seulement par mon prénom et tutoie-moi.
-Excusez moi si … nous apprenons jeune à baiser les yeux devant nos supérieurs et à vouvoyez les hommes qui détiennent le pouvoir.  Je trouve que cela fait étrange de détruire 15 ans d’apprentissage en deux minutes.  Voilà, je suis venu vous parler … te parler de nous.  Je suis un Prieur et je déteste ce statut.  Ma mère possédait des pouvoirs magiques et mon père l’a amené de force dans cette grotte humide où l’on vivait et elle est morte en utilisant ses pouvoirs magiques pour nos supérieurs.  Aucun de nous ne possède ses dons. 
-Tu t’éloignes, grogna la wyverne.
-Oui.  Je dois vous dire que nous nous cachons en haut de la colline qui surplombe votre ville.
-Je me doutais que vous ne deviez pas vous cacher loin mais, aussi près de la forêt, c’est presque du suicide.
-Dieu et … Satan nous protègent de ceux qui pourraient nous voir et nous dévorer.  Sauf les sentinelles, nous vivons tous dans un dôme d’invisibilité.  Quand une personne franchit les limites, nous nous cachons tous derrière les arbres ou dans les fourrés comme aujourd’hui.  Une femme, deux chiens, un centaure, une licorne noire et un enfant ont traversé et personne ne nous a vus. 
-Merci pour ses informations importantes.
-De plus, vous ne devez pas nous craindre.  Vous possédez plus de soldats dans votre palais que nous.  Ils ont amené dans leur folie des enfants que les mères hurlaient quand il leurs arrachait.  Je n’ai que 15 ans mais, je suis dans la moyenne d’âge et je dois avouer qu’il y a aussi de très vieux hommes dans notre armée.  De plus, nous sommes tous affamés et squelettiques.  Une grippe pourrait nous disséminer sans problème. 
-Je ne pense pas envoyer un microbe aux soldats de Dieu, songea Raistlin.  Je pense que le mieux est d’attendre ma mère.  Elle devrait revenir demain avant midi.
-Je pense que si vous leur mettez une table de victuailles lors de leur descente,  ils vont presque tous arrêter leurs pas pour se restaurer, ria Lucius.
-Pas fou comme idée!  Je ne suis pas un bon hôte!  Tu dois être affamé toi-même, répondit le prince dont une idée germait tranquillement dans sa tête.

    Alors, d’un claquement de doigt du prince magicien, une table apparut avec pleins de nourriture. 
-Mange comme tu veux mon ami.
Celui-ci ne se le fit pas dire deux fois.  Il se jeta sur la nourriture et mangea comme jamais.  Pour la première fois de sa vie, il ne sentait plus les affres de la faim et plusieurs rirent en le voyant manger aussi goulûment.

Tu y es presque!!! 

On revient avec Rachel et ses amis.

Chapitre 132

    La lune continuait sa course dans le ciel.  Rachel resta éveillée pour protéger le sommeil de ses amis.  L’énergie coulait encore dans ses veines et l’empêchait de dormir.   Elle écoutait le chant des cigales.  Comme on vivait dans un temps chaud perpétuel dans la forêt, les cigales et les grenouilles n’arrêtaient jamais de chanter.  L’hiver ne possédait aucun droit sur cet endroit protégé par les licornes blanches.  Une grenouille croassa au loin reprit par d’autres.  La magicienne ferma les yeux un instant pour mieux écouter les animaux qui chantaient pour attirer une partenaire.  Elle communiait ainsi avec la nature qui l’entourait et elle en puisait de l’énergie même si elle n’en manquait pas.  Elle aimait surtout le lien privilégié qui ressortait de cette méditation.  Rien ne pouvait l’attaquer car, elle sentait toutes les créatures qui grouillaient autour d’elle.
   
    Alors, une brindille qui brisa sous le pas d’un être vivant brisa sa concentration.  Rachel regarda derrière elle et vit sa fille qui s’approchait d’elle en essayant de ne faire aucun bruit.  Les rayons de la lune éclairèrent son jeune visage qui regardait sa mère.
-Je ne pourrais jamais te faire sursauter.
-Non.  Tu sais que je peux sentir bien des choses. La magie aiguise tes autres sens.
-Maman, je pense que nous n’avons pas terminé notre discussion la dernière fois, dit-elle en s’assoyant sur le sol devant sa mère.
-Je voulais te laisser dormir plutôt que de te parler.  Demain risque de nous laisser peu de temps de sommeil.  Moi, les créatures m’en ont donné beaucoup mais, pas toi.
-Je sais que cela te turlupine le cerveau alors, j’aime mieux qu’on en parle maintenant.  Tu ne te poseras plus de question et tu pourras mettre ton intelligence à contribution à 100%.
-Je ne suis pas la seule qui devra sortir des idées de son chapeau, ria la magicienne.
-Je sais mais, je veux que tu me comprennes.  Je serais un livre ouvert pour toi.
-N’ouvre pas trop grand car, tu pourrais détruire ta jolie reliure.
-Maman, ce n’est pas le temps de rire de moi.  Je veux seulement que …
-Aimes-tu ou non Pedros?, dit sa mère en reprenant son sérieux.  J’aimerais savoir si c’est de la haine ou de l’amour que tu ressens pour lui.  Je sais que je suis fatigante avec cette question mais, cela changera beaucoup de choses dans nos vies.
-Je ne vois pas ce qui changerait?
-Je devrais empêcher Karl de tuer son gendre si tu l’aimes.  Si tu le haïes, je devrais faire en sorte qu’il sort de nos vies sans que mon mari sache où il se cache.  Tu ne sauras pas plus sa cachette toi non plus.  Tu vois ce que cela changera maintenant.  Si tu l’aimes, je ne veux pas te séparer de lui.  Je veux ton bonheur.
-Je vois!  Cependant, je ne sais pas vraiment ce que je ressens pour cet homme.  Je le détestais lors de son invasion de notre maison mais, je ne retrouve pas le même homme dans cet endroit où tu l’avais caché.  Il semble plus drôle et plus … attachant.
-Tu sais qu’avec Karl se fut assez horrible.  Je le détestais de toute mon âme et j’ai failli manger Crack pot.  Cependant, mon père me disait souvent un adage qui s’est montré vrai : « entre l’amour et la haine, il a un pas si infime qu’on ne peut le distinguer. »
-Tu veux dire que ma haine se transforme tranquillement en amour comme toi.
-Nous ne sommes pas si différente!  Je suis ta mère après tout!  Cependant, ce que cela veut dire est que tu ne peux pas distinguer l’amour de la haine tant ces deux sentiments se ressemblent.
-Et nous possédons des pouvoirs magiques qui font l’envie de tous. 
-Je ne parle pas de magie ici mais, d’amour.
-Je crains maman que je cherchais l’amour partout mais, je pense que … que …
-… que tu l’as trouvé dans les bras de l’homme que tu détestais le plus au monde.
-Je crois que …
-… que le charme de Pedros a opéré et que ton cœur a vu ce que ton cerveau ne voyait pas.
-Je le détestais tellement, je ne pensais pas … Qu’est-ce que je dois faire?  C’est affreux!  De plus, tu finis mes phrases.
- Calme toi ma chérie!  J’ai vécu ce que tu ressens. Tu devrais y penser quelques temps et, si ton cœur appelle le fils de Satan, dit lui.  Il sera bien content et je … je réfrènerais les envies de meurtres de ton père.
-Morgane, dit une voix masculine que les deux femmes reconnurent.
-Pedros?  As-tu entendu notre conversation? demanda la princesse.
-Un peu!  N’aie pas crainte, je te laisserai le temps de penser.  Cependant, tu dois savoir que je t’aime de tout mon cœur et que l’homme qui détruisait tout ce qu’il touchait n’existe plus. Ta mère m’a aidé à me débarrasser de mon paternel.  Je suis un autre homme maintenant et je dois beaucoup à ta maman.
-Allez les enfants, allez dormir!   La journée de demain risque de vous demander beaucoup d’énergie.  Pedros, vient ici un instant.
-Bien sûr!, dit le jeune homme en s’approchant de celle qui l’appelait durant qu’il regardait Morgane repartir dormir.
-Je vais te dire une seule chose, commença Rachel.
-Quoi?
-Si tu fais du mal à ma fille d’une manière ou d’une autre, dis-toi que mon épée te transpercera.  Elle connait bien la chair des hommes.  Je ne rigole pas!  Je suis très sérieuse.  Je suis telle une lionne qui protège ses lionceaux.  Elle ne sait plus où elle en ait avec son cœur et je ne veux pas que tu lui brises.
-Quoi? dit-il en regardant le regard de la magicienne.
Il frissonnant en voyant le feu brûlé dans ses yeux.  Il entendit même un grondement venant d’elle.  Même Orée voulait protéger la princesse de lui s’il le fallait.  Il savait que s’il blessait le cœur de celle qu’il courtisait, il ne vivrait pas très vieux.

J'ai reçu mon roman aujourd'hui!!! Je suis bien heureuse.  Le premier qui se prénomme l prophétie. Un rêve qui se concrétise. 

Je suis bien contente vanouloup que tu aimes l'histoire. J'essaie de l'écrire pour que tous l'aiment avec un peu de tous.  Cependant, quand tu écris, tu vois les livres d'un autre oeil!!! 

Voici la suite. On tombe avec ceux qui vivent dans l'armée de Dieu et ...  je ne vous raconterai pas tout.  J'aime mieux que vous lisez ce chapitre. Gothikadol avait un début de vérité!!!!   

Chapitre 133

    Le soleil se leva quand une sentinelle arriva pour prendre la place des deux autres. Le jour, une seule personne montait la garde et la nuit, deux.  Au cas où un de deux s’endorment. Cette personne vit du sang partout.  Il pensa aller avertir les autres quand il remarqua qu’autour du camp, des paniers remplies de victuailles s’y trouvaient en nombre suffisant pour nourrir tout le monde … sauf les dirigeants.  Il savait que s’il avertissait les chefs, les paniers disparaitraient dans leur estomac.  Il pensa alors en parler aux autres affamés comme lui.  Il alla au camp et en toucha quelques mots à un autre qui répandu la nouvelle.  Bientôt, tous virent voir les paniers-déjeuners sans que Geoffrey et ses prêtres ne le sachent.  Cependant, personne n’osait s’approcher malgré la bonne odeur que la nourriture dégageait. Il voyait que chaque panier contenait un morceau de fromage, une rôtie nappé de confitures aux fraises, un bagel et de l’eau de source dans une bouteille.  De plus, il voyait un morceau de papier qui dépassait de chaque panier et qui semblait contenir un mot de leur bienfaiteur.  Un enfant de huit ans approcha de cette aubaine et prit un panier sur ses genoux.  Il regarda le papier mais, il ne connaissait pas cette langue.  Un autre homme de soixante ans prit un des papier et reconnut les lettres inscrites.  Le langage des magiciens.  Il comprit de qui venait ce cadeau et regarda en direction de la ville en-dessous.  Ensuite,  il lut la lettre et tous écoutèrent :
« Bonjour cher ennemi,
                                     Je sais que vous êtes affamés et, même si nous devons nous battre face à face, j’aimerais mieux que vous soyez au meilleur de votre forme.  Je m’appelle Raistlin et je suis le prince des magiciens et le frère de Pierre, un des vôtre.  Alors, j’espère que le nombre est exact et j’espère que cela vous donnera un petit-déjeuner convenable. »

    Alors, tous se ruèrent sur un panier et dévorèrent le contenu.  Ils sentirent tous un regain d’énergie mais, plusieurs commencèrent à se demander qui portait vraiment le nom d’ennemi.  Ceux qui les affamaient ou ceux qu’il croyait leur ennemi?

Vraiment!!!  Donnez le déjeuner à ceux qui sont tes ennemis, c'est tr:es gentil     Mais pas très intelligent!!! 

On retourne avec Rachel et ses compagnons. 

Chapitre 134

    Rachel regarda les premiers rayons du soleil tâchés le ciel de rose et mauve. Elle arrêta sa méditation qui la liait à la nature et elle se leva pour aller réveiller ses compagnons de route.  Elle resta sans voix en les voyants tous debout en train de manger leur déjeuner.
-Alors ma chérie, toujours dans tes rêveries, ria Karl en la voyant surprise.  C’est sûre que quand on a un mari si beau que moi.
-Tu te flattes ma parole, répondit la principale intéressée. 
-Arrêtez de vous chamailler, ria Éric à son tour, il faut vite repartir pour arriver avant l’échéance.
-Est-il toujours aussi rabat-joie? demanda Pedros.
-Tu n’as pas idée, répondit Morgane.  Tu le vois enfin au naturel!
-Rachel, tu devrais manger à ton tour, rétorqua Hélène.  Mon époux ne plaisante pas  au sujet de notre arrivée tardive si nous ne nous mettons pas bientôt en route.
-Moi qui pensais vous trouver tous endormis, je me suis trompée.  N’aie crainte Hélène, j’ai mangé avant de venir vous réveiller.  La nature donne plusieurs bienfaits pour ceux qui savent comment s’en servir.
-La biologiste est de retour, soupira la fille de celle-ci.

    Après quelques minutes, la troupe se mit en marche pour atteindre la ville.  Ils firent place nette pour ne pas détruire la nature si chère au cœur de leur reine. Ils marchaient pendant quelques temps quand Rachel leur demanda de garder le silence.  Elle les laissa là et disparut dans un buisson. Les autres s’assirent en attendant les informations qu’elle ne tarderait pas à leur communiquer lors de son retour.

    L’attente ne dura pas très longtemps.  Leur amie revint vite et leur donne les renseignements qu’il devait savoir.
-Je voulais être certaine de ce que je pressentais et c’est le cas.  Un dôme d’invisibilité entoure nos ennemis.  Si nous passons par là, ils découvriront que je suis en vie et que Pedros est notre ami et non votre maitre. 
-Alors, comment fait-on pour passer? demanda Morgane. C’est le chemin le plus court et le temps joue contre nous.  Les contourner fera en sorte que nous arriverons en retard.  Nous ne sommes même pas sûr qu’ils ne nous verront pas.
-Volons!
-Volez?  Rachel, tu n’y penses pas, discuta Karl.  Ils remarqueront rapidement six humains volants.
-Qui parle d’humains?  La transformation n’est pas interdite et on la maitrise bien.  On prend la forme d’oiseau et on vole chacun notre côté …
-Je ne voudrais pas briser ton idée, coupa Éric mais, nous avons un petit problème avec la couleur de nos dragons. 
-Hélène peut se transformer en cygne, un oiseau blanc.  Karl en corbeau. 
-C’est beau pour ces deux là mais nous!  Quel oiseau est argent et doré.  J’attends que la biologiste réponde à cette question.
-Il faut jouer d’ingéniosité mon ami.  Médora, qui est grise et tan, se transforme souvent en faucon pèlerin.  Le noir de l’oiseau sort gris mais, on peut penser à de la saleté. Pour toi, il sera argent.   Moi, je peux prendre l’apparence d’un aigle royal.  Il est tout brun mais, le plumage sortira de la couleur de l’or assez prêt de la couleur véritable.
-Oui, cela pourrait fonctionner!  On suivra ton idée! déclara le symboliste.
-Moi, je n’ai pas de problème avec les couleurs des oiseaux, chantonna Morgane.
-Attends, dit Karl.  À ma mort, tu hériteras d’un colocataire.  Noiraud viendra vivre dans ton corps.
-C’est un mâle?
-Et puis?  Ta mère offre Orée à Raistlin alors, il ne reste plus que toi pour abriter mon dragon.
-Tu vivras vieux et je ne connaitrai pas longtemps Noiraud.
-Allez les deux, coupa Hélène.  On se transforme, on se divise et on se retrouve en ville.
-N’oubliez pas de voler très haut pour pas que nos ennemis décide de nous tirer dessus pour faire de nos plumes des oreillers à leur femme.
-Bonne idée!
-Excusez, dit Pedros en se mêlant à la discussion durant que les autres prenaient leurs formes aviaires sauf Rachel.
-Que se passe-t-il?
-Je ne sais pas me transformer en … en … en rien.
-Satan ne t’a pas montré comment? demanda la magicienne.
-Non.  Il disait que je n’avais pas besoin de savoir comment me transformer en animal?  Il …  Vous savez comment il est?
-Oui, je le connais bien.  Je peux te transformer moi-même en oiseau!
-Je ne sais pas. S’il vous arrivait quoi que se soit, je ne suis pas certain que vos trois amis m’aideraient à reprendre ma forme première.
-Pas faux!  Morgane pourra te transformer.  Je pourrais te redonner ta forme première et s’il m’arrive de quoi, tu pourras demander à ma fille de te redonner ta forme première.  Qu’en dis-tu?
-Si elle le veut, répondit-il en voyant un pygargue à tête blanche qui voletait tranquillement au-dessus d’eux.
Du grand volatile, une lumière lilas descendit vers le jeune homme qui se sentit bizarre.  Il vit Rachel prendre la forme d’un aigle royal aux plumes dorées durant qu’il sentait son corps se transformer.  Il sentait que tout ses os lui faisaient mal.  Il vit son nez et sa bouche se rejoindre et se courber pour donner un bec de rapace.  Sa peau prit une teinte brune et l’épiderme se fragmenta pour donner des plumes brunes sur tout le torse ainsi que ses bras qui s’allongèrent et se recouvrèrent des plumes de différentes longueurs.  Les rémiges primaires, secondaires et tertiaires.  Il ne lui restait qu’un doigt qu’on appelle l’alula.  Il sentit sa colonne vertébrale rapetissé et sortir de son corps pour donner une queue avec des plumes aussi.  Il sentit aussi  un changement de position de son corps.  Un orteil disparu durant que les autres s’allongèrent pour se terminer en griffes acérées.  Ensuite, son gros orteil devenu doigt griffu se tourna vers l’arrière. Des pattes pratiques pour attraper et garder emprisonner sa proie. Cela se fit sur ses deux pieds durant que ses jambes se recouvraient d’écailles et rapetissaient. Le haut de ses pattes se couvèrent d’un duvet de la même couleur que ses plumes ventrales.  Son visage s’effila et ses yeux se placèrent de chaque côté.  De plus, sa nouvelle vision lui donnait un aperçu de ce qui se trouvait au-delà de ce que pouvait voir un humain.  Ses oreilles disparurent pour donner deux trous à leur ancien emplacement.  Il ouvrit son bec et un cri perçant en sortit.  Où se trouvait Pedros un instant auparavant, un aigle royal ouvrait ses ailes avec étonnement.  Il essaya de voler mais, il ne savait pas comment.  Les deux autres rapaces prêts de lui rirent comme un rapace pouvait le faire.   Le pygargue à tête blanche atterrit sur le sol auprès de lui.  Il savait que cet oiseau cachait Morgane.
-Veux-tu un cours sur l’anatomie des oiseaux ou sur comment voler? demanda télépathiquement Rachel. 
-Je ne pense pas que savoir le nom des plumes peut l’aider! répliqua sa fille.  Il doit savoir comment voler et ensuite,  tu pourras lui donner un cours sur l’ornithologie. 
-Je dois lui donner un point, répondit le fils de Satan de la même manière.  La guerre est imminente et nous devons nous rendre là avant que midi sonne si nous voulons nous préparer pour ma rencontre avec les chefs des Prieurs.
-En bas, cria un corbeau qui venait vers eux, nous vous attendons depuis un bon bout de temps.
-Revenez tous ici, répondit la magicienne, nous devons donner un cours de vol et je pense qu’à cinq nous pourrons lui montrer comment fonctionne les ailes d’un oiseau.

    Alors, un cygne, un corbeau et un faucon pèlerin argenté arrivèrent et atterrirent près de l’aigle royal qui les regardait faire.  Il essayait de les imiter durant qu’un s’envolait pour lui montrer comment.  Rachel, sous sa forme aviaire, montait la garde pour ne pas se faire piéger par leurs ennemis qui se trouvaient à quelques mètres d’eux.  Elle voyait aussi que les trois autres dragons commençaient à bien connaitre le jeune homme qui les avait, jadis, piégé avec sa potion d’obéissance.  Elle voyait qu’un lien d’amitié commençait à se tisser entre eux et elle sourit comme sourit un rapace.

Je n'ai jamais vu ce film!!!  C'est à peu près cela,une ouverture du bec     les oiseaux ne rient pas comme les humains mais, les magiciens, sous leur forme métamorphosé ne pensent pas qu'ils ne peuvent plus faire les mêmes mimiques que sous leur forme humaine.     

Voici la suite.
On retourne dans la tête de Dieu(avec ses grands idéaux de triomphe) 

Chapitre 135

    Dieu regardait ce royaume où il poserait bientôt le pied en vainqueur.  Le fils de son ange le plus parfait lui donnerait le pouvoir et il s’installerait sur le trône des quatre dragons sans que ceux-ci ne s’y opposent.  Rachel, auprès de ses dieux, devait rager et il se sentait  heureux. 
-Tu ne devrais pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, répliqua Satan en arrivant auprès de son concepteur.
-Qu’est-ce qui pourrait nous empêcher de gagner?  Rachel croupit six pieds sous terre, les dragons écoutent aux doigts et à l’œil ton fils.  Les créatures sont perdues et ne savent pas quoi faire quand leur leader ne se trouve pas à leur côté.  J’en compte plusieurs en bas mais, elles repartent vers la forêt.  II n’en restera plus aucune quand nous allons arriver triomphalement.
-Les enfants de Rachel ne te laisseront pas le pouvoir si facilement.
-Nous ordonnerons aux dragons de les tuer!
-Rachel morte, la dragonne d’or doit se trouver dans son fils Raistlin. 
-Il n’osera pas faire de mal aux autres.  Les liens de la famille sont forts.
-Karl ne voudra pas tuer ses enfants …
-Il a bien passé prêt de tuer sa propre femme alors, ses enfarges. 
-Tu te vois déjà avec la couronne sur la tête.
-Oui Satan.  Je te récompenserais lors de mon couronnement.  De plus, je détruirais l’Olympe et ces dieux ridicules qui y vivent.  Quand je serais roi, seul mon culte sera toléré.  Les dieux perdront leurs adeptes et, par le fait même, leurs pouvoirs divins.  Rachel ne sera plus qu’un souvenir et je gouvernerai le monde entier.
-Les êtres de la forêt ne voudront jamais te prier!
-Je les tuerais tous et je serai le seul à posséder des pouvoirs magiques.
-Tu as tout planifié.
-Oui et rien ne pourra me voler ma victoire!